80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ils s'appellent Denko, Mouminy, Jonathan. Ils viennent d'Afrique noire, d'Europe de l'Est, du Maghreb. À 16 ans, parfois plus jeunes encore, ils ont fui la guerre, les menaces pesant sur leur famille, la misère. Le drame de l'exil les a endurcis, a broyé leur innocence. Au titre de la protection de l'enfance, la France reconnaît des droits à ces jeunes mineurs étrangers non accompagnés par une personne exerçant l'autorité parentale (MNA) : le droit à bénéficier d'une assistance et d'un hébergement, le droit à être scolarisé. Mais faire appliquer ces droits est un long combat. Dans un contexte de fermeture des frontières et de relatif désengagement de l'État et des collectivités, les associations luttent par tous les moyens pour améliorer les conditions de vie de ces jeunes exilés, les aider à bâtir leur avenir et porter leurs voix auprès des institutions et de l'opinion publique.
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