"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ce huitième volume de la saga Anastasia nous plonge au coeur de la lointaine taïga, où Volodia, le fils de Vladimir et d'Anastasia, vit depuis des années en compagnie des animaux de la toundra, avec lesquels il a développé des liens précieux. La visite de son père leur permet de se retrouver seul à seul, et c'est l'occasion pour eux d'échanger sur le véritable potentiel des animaux et de la nature en général, et notamment sur les connaissances perdues des plantes et leurs nombreux bienfaits. Avec eux et grâce à Anastasia, nous sommes invités à élargir notre réflexion sur le monde et à lui offrir une toute nouvelle dimension, incluant la naissance de la démocratie et le culte du dieu Argent. En lui racontant des histoires, notamment celle de l'homme qui voulait une mère et un monde parfaits pour son enfant, Anastasia conduit Vladimir à rêver à une autre forme de civilisation et à rédiger une lettre ouverte aux dirigeants de son pays en faveur du grand vainqueur, l'amour, qui les guidera également vers la conception d'un nouvel enfant.
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