Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
chronique : http://leschroniquesdenounett.blogspot.com/2018/08/chronique-litteraire-never-never-de.html
Ce livre était sorti aux Editions Hugo Roman mais en 3 tomes (Saisons 1, 2 et 3). Je ne voyais pas trop l'intérêt de les acheter à ce moment là, d'autant qu'ils faisaient de mémoire une centaine de pages chacun.
Alors, j'ai attendu la sortie d'une intégrale, et c'est chose faite : l'intégrale des 3 tomes est sortie aux éditions Pocket dont le prix est inférieur à celui d'un tome (!!).
Il s'agit là de mon premier Colleen Hoover, une auteure dont j'entends déjà parler depuis quelques années mais je n'ai pas eu encore l'occasion (ou je n'ai plutot pas pris le temps) de la lire avant Never Never. Et pourtant, j'ai quelques livres de cette auteure qui attendent gentiment dans ma PAL !
Je dois avouer que pour mon premier livre de cette auteure, je suis assez déçue, j'ai vu beaucoup d'avis positifs sur sa bibliographie en général, j'avais donc placé la barre très haute, je pense.
L'histoire de Never Never est assez originale : 2 ados qui perdent la mémoire au même moment, au même endroit. Un intrigue qui est assez bien plantée.
Les personnages sont très attachants et on les suit avec beaucoup d'intérêt et de curiosité. Ils essaient de découvrir pourquoi tout cela leur arrive en menant leur petite enquête. On découvre tous les éléments en même temps qu'eux.
Au fil des pages, on s'attache de plus en plus aux personnages et on essaie d'anticiper la fin. Des indices sont semés au fil des chapitres.
Il y a beaucoup d'émotions car on comprend leur désarroi et on les voit se redécouvrir plusieurs fois et c'est ça l'originalité de l'histoire.
J'ai beaucoup aimé la plume des auteures qui est fluide et facile à lire : c'est un page-turner.
On se laisse emporter sans souci.
On passe par plein d'émotions différentes et de façon intense car Silas et Charlie sont à fleur de peau tout au long du récit : regrets, rancœurs, reproches, colère ou encore tristesse nous accompagnent. Pourtant, ce qui est beau c'est que les deux personnages s'accrochent malgré tout car ils veulent comprendre.
Je pense que cette histoire aurait pu être plus approfondie et mieux exploitée car j'ai été très déçue de la fin et des explications données car on attend 3 tomes durant pour savoir enfin !!
J'ai trouvé la raison de leur perte de mémoire tirée par les cheveux...
Car, il faut se le dire, au fil de l'avancée de l'histoire et selon les péripéties des personnages, je me suis imaginé des scénarios divers et variés, assez ficelés mais il n'en est rien...
De plus, des indices ont été laissés de coté sans explication.
Bref, cette fin bâclée a rendu ma lecture amère, et mon premier Hoover n'est pas vraiment ce que j'espérais.. qu'en sera-t-il du prochain ?.?..
"Never Never" résumé :
Meilleurs amis depuis qu’ils ont appris à marcher.
Amoureux depuis l’âge de quatorze ans.
En couple depuis plus de quatre ans.
Elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour ne pas oublier.
Il fera tout ce qu’il peut pour ne jamais se souvenir.
Dommage que cela ne relève pas de leur sort.
Mon avis sur le livre :
J'ai adoré ce livre, cet auteur est devenue ma préferée. J'aime beaucoup son style d'écriture, c'est le quatrième livre que je lis d'elle et j'adore !
L'histoire change de ce que l'on peu lire habituellement. On s'attache aux personnages, on a envie de découvrir ce qui leur ai arriver.
Je recommande ce livre !
Difficile de placer des mots sur cette lecture. Aux premières pages, j’ai été envoûté, au milieu du livre, j’étais emballée et la à la fin, j’étais chamboulée.
Le livre s’ouvre de façon très étrange, Helena est transportée dans un rêve, LE songe. Elle y rêve d’une vie avec le petit ami de sa meilleure amie où Helena s’est transformée : elle est devenue dessinatrice, maman et est très amoureuse de Kit.
Lorsqu’elle se réveille, Helena se rend compte que ce qu’elle a vu dans son rêve ne lui a pas déplu…
Helena est une jeune femme intelligente, au petit ami parfait et pourtant, on sent dès le début que cette vie ne lui plaît qu’à moitié. Sa meilleure amie est tout l’inverse d’elle et ses goûts en matière d’homme sont totalement différents. Et voilà Helena qui se surprend à vouloir en savoir plus sur Kit, le petit ami de sa meilleure amie, et surtout, elle découvre avec stupéfaction qu’une partie de ce qu’elle a apprit sur Kit est vrai ou va devenir vrai.
Ce rêve est la partie obscure de ce livre, il n’y a aucune explication rationnelle et logique à ce que tant d’éléments de la vie de Kit se soient retrouvés dans le rêve. C’est en tout cas le truc qui m’a le plus déstabilisée dans cette romance puisque j’étais persuadée qu’on partait dans du fantastique.
Mais revenons à Helena. En passe d’obtenir son diplôme, Helena remet pas mal d’éléments de sa vie en cause à commencer par Neil, son copain, qui passe son temps à parler de lui et ceci n’est que le début du changement de vie d’Helena ! Je me suis vraiment prise d’affection pour elle, pour son évolution spéciale et touchante et pour ses références à Harry Potter qu’elle semble être la seule à connaître. J’aurais quand même aimé qu’elle revienne moins vers Della, sa meilleure amie vu que c’est flagrant qu’elle se sert d’elle et quand elle devient jalouse, hop, elle repousse Helena sans se soucier d’elle.
En parlant de Della… Della est LE personnage antipathique, elle aime faire savoir qu’elle est belle, que Kit est entre ses crochets et elle rabaisse parfois Helena. Bref, dès le départ, mon petit doigt m’a dit qu’elle serait sympa au début mais plus beaucoup à la fin…
Quant à Kit, je l’ai d’abord trouvé étrange et détaché mais plus on avance dans le livre et plus on remarque son tiraillement entre Della à laquelle il s’est habituée même s’il n’arrive pas à dire qu’il est amoureux d’elle et Helena qui se soucie plus de lui que d’elle.
C’est beau, bien écrit et ce livre a réussi à me communiquer énormément d’émotions. On passe facilement du rire aux larmes et au total WTF. Mention spéciale pour les titres de chapitres, souvent annonciateurs de ce qu’il va se passer mais aussi pour l’absence de scènes ultra chaude (eh oui, parce que c’est toujours cool de se souvenir qu’une romance, ce n’est pas que du cul!)
Au final, tout part d’un rêve (prémonitoire ou non), un rêve qui va changer la vie d’Helena. Quand j’étais adolescente, je disais que si quelqu’un rêve d’une vie avec un homme de notre entourage, c’est sûrement parce qu’on éprouve des sentiments pour cet homme. C’est ce qu’Helena a finit par comprendre et c’est mignon, bizarre et émouvant à la fois.
Ce n’est pas la première fois qu’une romance de Pygmalion me retourne le cerveau. J’avais déjà rencontré un sentiment similaire avec L’enjeu d’Angela Behelle, un roman placé sous le signe de l’anticonformisme, qui m’avait clairement poussée dans mes derniers retranchements. Avec L’opportuniste, le sentiment était moins fort, mais pas moins percutant. Je ne m’y attendais pas du tout, car j’avais lu Never Never de la même auteur, écrit en collaboration avec Colleen Hoover, et je pensais être tombée sur une romance très douce, tendre et légère. À la place, j’ai plongé dans l’esprit tortueux d’Olivia.
Olivia Kaspen est une jeune femme loin d’être ordinaire. Un caractère bien trempé et une fâcheuse tendance à faire des caprices, voilà ce qui la caractérise. Mais si elle a un grand regret dans la vie, c’est celui d’avoir perdu Caleb Drake, son premier amour dont elle s’est séparée trois ans plus tôt. Pourtant, un jour, leurs chemins se recroisent, et Olivia découvre que Caleb a perdu la mémoire. En d’autres termes, il ne se souvient plus de leur relation aussi chaotique que passionnelle. Olivia y voit alors comme un signe. Le destin lui offre une deuxième chance, celle de ramener Caleb dans ses filets, quitte à lui mentir et le manipuler.
Ce roman réunit à lui tout seul ce qui me fait peur dans l’amour. Jusqu’où peut-on pousser les frontières et les obstacles pour séduire quelqu’un ? Olivia, elle, va les repousser, ces frontières, et de toutes les manières possibles. Bien décidée à obtenir ce qu’elle veut, elle est prête à tout. Caleb l’obsède, elle le désire plus que tout, parce qu’elle sait qu’il est fait pour elle.
C’est là que ça commence à devenir étrange, parce qu’Olivia n’a rien d’un cliché, elle est même tout le contraire. Dans le genre anti-héroïne, ça se pose là. Au premier abord, elle semble froide, calculatrice, rusée, terriblement égoïste… mais il y a une fêlure en elle qui s’élargit au fur et à mesure que l’on avance dans le récit. Une fêlure qui finit par se transformer en plaie béante. Et je peux vous dire qu’on est sur du lourd. Du très lourd.
J’ai été très partagée concernant Olivia. Ce qu’elle faisait allait clairement à l’encontre de mes principes. Mais elle, elle n’en a rien à faire, et ça confine parfois à la névrose. Du coup, j’avais envie qu’elle parvienne à ses fins, mais je souhaitais également que la vie lui donne une bonne leçon. C’est très étrange d’être à la fois derrière un héros et contre lui. C’est bien la première fois que ça m’arrive.
La relation entre Olivia et Caleb n’a rien d’une petite promenade de santé. Elle peut se faire tour à tour belle, sensuelle et bouleversante, avant de s’effilocher sous nos yeux. Il y a eu un passage en particulier – quelque chose que Caleb fait – qui m’a définitivement vaccinée, je crois. Arrivée à ce stade, je me suis dit qu’on n’était pas du tout chez les bisounours et que cette romance essayait de me mettre les nerfs en biseau. C’est typiquement le genre de relation passionnelle qui fait ressortir le meilleur des personnages, mais aussi le pire.
Ma seule espérance maintenant, c’est d’espérer que la maison d’édition publiera la suite de la saga, cette fois-ci du point de vue de Leah. Parce que la fin m’est clairement restée en travers de la gorge. La morale de l’histoire est déchirante, elle fait mal, et je crois que je suis encore dans le déni à l’heure actuelle.
En résumé, L’opportuniste mêle passé et présent pour nous conter une histoire d’amour déviante, dans laquelle les protagonistes se mentent et se manipulent sans scrupule. J’ai dévoré ces 294 pages en moins d’une journée tant l’histoire était captivante, et j’en suis ressortie à la fois estomaquée et émotionnellement à plat.
Ma chronique : https://april-the-seven.weebly.com/contemporaine/love-me-with-lies-tarryn-fisher
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