Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
“Manhattan Project” c’est le nom sous lequel est connu le programme lancé en 1942 par les Etats-Unis en vue de se doter de la bombe atomique. Programme qui débouchera sur les drames de Nagasaki et Hiroshima et changera durablement l’équilibre mondial.
Le livre de Stefano Massani entreprend de conter les prémices du projet. Nous sommes en 1938. Quatre jeunes physiciens juifs hongrois ayant fui leur pays et les risques liés à la montée du nazisme, se retrouvent à New-York. Inquiets de la possibilité que l’Allemagne se dote de l’arme nucléaire, ils se mobilisent et mobilisent leur réseau pour mettre sur pied ce programme dont Robert Oppenheimer sera l’un des symboles.
Difficile de se retrouver dans ce livre si on n’est pas déjà familiarisé avec cet épisode de l’histoire des Etats-Unis. Et le choix de l’auteur d’écrire son livre comme un poème en vers libres n’aide probablement pas.
Plus que le programme américain pour se doter de la bombe atomique, Stefano Massani semble ici s’intéresser aux caractères des quatre hongrois qui ont chacun leur manière de vivre leur exil et les mêmes interrogations quant à l’usage qui pourrait être fait de l’arme nucléaire.
Un parti-pris intéressant mais qu’il est difficile de suivre à cause d’une écriture où les répétitions se multiplient ainsi que les images stylistiques et les références religieuses. On a assez vite l’impression de tourner en rond sans entrer dans le vif sujet.
Le livre se lit très vite, trop vite, alors que le sujet mérite beaucoup plus de profondeur, d’explications et de pédagogie. On a très vite l’impression que le récit ne se base sur aucune réalité tangible, aucune recherche historique, aucune documentation alors que chacun de ces personnages a pourtant existé et a joué un rôle essentiel dans la mise au point de la bombe.
C’est vraiment dommage car on sent très souvent l’émotion et les interrogations qui pourraient naître de ce récit poindre entre les strophes mais qui ne se déploient pas au cours du récit. Une lecture frustrante donc.
Elles sont 11 : Rosalyn, Olivia, Justine, Penelope, Abigail, Haylie, Melanie, Violet, Brianna, Sherill, Berenice !
Avril 1917 Royaume-Uni, les hommes sont mobilisés sur le front, les femmes travaillent à l'usine de munitions Doyle & Walke, lors d'une pause déjeuner Violet donne un coup de pied dans un prototype de bombe, 10 ouvrières viennent la rejoindre.....elles auraient pu mourir, elles vont jouer !
Démarre ainsi l'aventure de ces 11 ladies et leurs besoins de jouer pour oublier quelques instants leurs rôles cloisonnant de mère, de fille, d'épouse......Elles ont soif d’évasion et de liberté !
Les ladies comment par 30 min, puis recommencent le lendemain et le surlendemain..... d'abord dans la cour, jusqu'au stade......jusqu'à ce que les hommes reviennent de la guerre et qu'elles doivent laisser la place.....
11 splendides portraits !
Une vraie satire politique et sociale sur l'émancipation des femmes ! Passionnant ! Ironique ! Drôle !
J'ai adoré ❤️
Un livre original écrit en vers libres.
C'est l'histoire de la première équipe de foot féminine anglaise née en 1917 pendant la première guerre.
On leur laisse faire des trucs aux femmes pendant que les hommes sont au front ; ouvrière d'accord mais jouer au foot, il ne faut peut être pas exagérer ou alors sans le cheveux au vent, avec des uniforme qui cachent tout et puis il faudrait pas penser à battre une équipe d'hommes même si ce sont des éclopés ou des vieillards.
Tout cela est raconté de manière atypique ; on sourit, on est ému.
Néanmoins, la parti pris du style m'a parfois perdue et j'aurais tellement aimé en savoir plus sur ces femmes à peine décrites dans une écriture décousue.
Un livre sympathique mais finalement frustrant ; cette épopée aurait sans doute valu plus que cela.
Difficile de résumer ce récit tant la forme est originale et les messages au second voire troisième degré.
Pendant plus de 800 pages, des vers qui ne riment pas s'enchainent ; l'auteur va assener, illustrer, raconter la banque Lehman de la genèse, en 1844, à nos jours.
Il faut se concentrer ; on sourit parfois, on est affligé souvent, on découvre tout le temps.
Cette banque, c'est aussi une famille et, comme dans toute les familles, le pire côtoie le meilleur.
Alors oui, il y a quelques longueurs car le mode narratif s'enlise parfois et ronronne sur la durée mais franchement c'est un roman à part.
Un sujet sérieux, moderne et qui fait réfléchir.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...