"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le jeune Ernie, à qui son père vient d'offrir une carabine, décide de partir chasser avec son ami Raymond. En cours de route, non loin d'une voie ferrée, ils rencontrent Peter Watson, le premier de la classe, leur ennemi juré, qu'ils obligent à aller ramasser les oiseaux qu'ils abattent, dont un magnifique cygne... Henry Sugar, un riche oisif, découvre par hasard l'histoire d'Imhrat Kahn, , un Hindou qui pouvait voir sans l'aide de ses yeux. Il découvre aussi le secret de cet extraordinaire pouvoir qui va lui permettre de mystifier les casinos du monde entier... et d'apprendre qu'on ne joue pas impunément avec les mystères de l'Inde.
Une nouvelle qui parlait déjà à l'époque d'harcèlement, l'auteur à un ton incisive, humour, mystère et suspens. Une lecture rapide, une nouvelle qui tient en haleine. Des personnages et une moral bien construit.
L'adaptation de West Anderson avec Rupert Friend, Ralph Fiennes, Asa Jennings en quatre court métrage avait été diffusé en 2023 sur Netflix.
Cet ouvrage autobiographique est une très belle découverte, l'occasion d'un voyage dans le temps et d'en savoir un peu plus sur cet auteur que j'adore!
Au hasard d’une boite à livres, j’ai déniché cet ouvrage et découvert que Roald Dahl n’était pas qu’un brillant romancier jeunesse. « A tire-d’aile » constitue un recueil de nouvelles qui ont pour cadre l’aviation pendant la seconde guerre mondiale. Elles sont inspirées par le parcours de l’auteur pendant cette période. Les nouvelles sont bien construites et bien écrites, malgré une qualité un peu inégale. Elles montrent le vrai talent de Roald Dahl pour cette forme littéraire avec une concision et en même temps une vraie profondeur qui parvient à susciter de vraies émotions chez le lecteur. « A tire-d’aile » m’a permis de découvrir une facette très intéressante de cet auteur, loin des romans jeunesse « joyeux » comme « Charlie et la chocolaterie », « Le Bon Gros Géant », ou « James et la grosse pêche ».
Voici comment aurait pu se finir cette chronique. Sauf que la lecture de la nouvelle « Madame Rosette » m’a laissé une impression amère avec des termes assez hors de propos concernant une femme juive qui m’ont mis franchement mal à l’aise. Après quelques recherches, j’ai appris que l’antisémitisme de Roald Dahl était de notoriété publique, et même revendiqué par lui. J’avoue que depuis, je ne vois plus du tout l’auteur de tant de romans jeunesse magnifiques de la même manière.
Une lecture aussi ludique pour ma fille de 9 ans que pour moi.
Les dessins de Pénélope Bagieu sont tous très bien puisqu'ils nous offrent une belle palette d'émotions, de grimaces et de sourires.
L'histoire de ce petit garçon est rigolote et ses aventures avec sa mamies et ses vilaines sorcières sont bien écrites.
Un livre beau et rigolo donc à lire et offrir
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