"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Attirée par le nom de Pierre Grimbert et le worldbuilding prometteur, c'est sans crainte que je me suis lancée dans ce premier tome. Aïe, aïe, aïe, j'aurais dû me méfier davantage !
En effet, l'histoire réunit pas mal de stéréotypes qui m'ont fait grincer des dents : l'intrigue est manichéenne, les antagonistes assoiffés de pouvoir et l'écriture répétitive, insistant sans cesse sur le devenir incertain des personnages, mais sans jamais se renouveler. Quant à l'héroïne principale, elle est le cliché de la jeune fille invisible qui se découvre tout à coup un destin hors du commun et suscite l'attention de la gent masculine...
Lassée, j'ai failli abandonner ma lecture en cours de route, toutefois la dernière partie du roman relève un peu le niveau. Je suis donc allée jusqu'au bout pour assouvir ma curiosité quant à l'identité de la 21e Lame. En revanche, je ne terminerai pas la saga.
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Il convient de ne pas se fier au titre de cet album. Pax Elfica, littéralement "paix elfique" nous donne à voir un monde de fantasy dans lequel les elfes, autrefois libérateurs inespérés contre le nécromancien sont devenus les oppresseurs de tout un peuple. Enlevant les enfants pour les priver de magie ou imposant de nombreuses restrictions de libertés.
Dans cet univers peuplé de différentes ethnies, une auberge devient le point cardinal d'une étincelle, celle des soubresauts d'une possible rébellion. C'est un véritable refuge où se côtoient différents protagonistes avec une histoire particulière.
Sur le fond, il n'y a pas de véritable originalité mais tous les codes du genre sont habilement disséminés. Cette histoire tisse intelligemment des fils et augure des intrigues très intéressantes. Dans l'ensemble cet album fonctionne bien. Le dessin est efficace avec une palette de couleurs variées, même si le décor nocturne semble jouer un rôle particulier. Sans doute un lien avec le couvre-feu imposé. Une belle entrée en matière pour Pietrantonio Bruno.
La paix peut avoir un prix exorbitant ou n'être qu'un leurre qui cache une guerre secrète. Ce sont les graines de suspenses qui sont plantés dans ce décor.
Un bon album pour entamer une série fantasy. J'ai hâte de découvrir la suite.
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Ayant adoré la saga Gonelore, c'est sans crainte que je me suis lancée dans le dernier Pierre Grimbert. Cette fois, son génie s'exprime par le développement de différents points de vue, nombreux pour un one-shot de 320 pages, mais jamais je ne me suis sentie perdue. Au contraire, j'en redemandais, tant les personnages se révélaient intéressants.
J'ai également obtenu des réponses quant à ce que cache la montagne sacrée, et je ne sais toujours pas si elles me conviennent. Ce que je sais, en revanche, c'est que Le Sang des Parangons fut une lecture fascinante !
Excellente série de fantasy française !! J’ai adoré plonger dans l’univers créé par Pierre Grimbert et me suis laissée prendre sans fatigue par ces 9 tomes .Cette série en compte même plus mais je n’ai lu que Le secret de Ji (4) et les enfants de Ji(5). Il me semblait que l’histoire était finie et j’ai craint un épuisement de l’auteur et un affaiblissement de l’histoire.… Le cycle de Ji se déroule dans un monde imaginaire peuplé d’hommes et de magiciens.
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