Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Ce roman historique relate l’entrainement et la participation au Débarquement du 1er bataillon de fusiliers marins commandos français, plus connu sous le nom de Commandos Kieffer. Kieffer fut celui qui les entraina et les dirigea le 6 juin 1944 sur une plage de Normandie.
Roman destiné à la jeunesse, il est centré sur 3 jeunes français qui ont choisi de répondre à l’appel du Général de Gaulle, rejoindre les Forces Françaises Libres en Angleterre et décidés à intégrer les commandos britanniques en Ecosse afin de libérer leur pays !
Je dois dire que même pour les adultes c’est une bonne idée de baser le roman sur des volontaires, des témoignages sont là pour aider à se figurer ce qu’ils ont pu penser et vivre. Arthur, Jul et Al sont ces 3 jeunes que nous allons découvrir tout au long de l’histoire et l’on ne peut qu’admirer leur abnégation, leur courage et leur ténacité pour arriver au but qu’ils se sont fixés.
Interviennent aussi quelques résistants normands, un flirt démarré en Ecosse et les batailles dans la campagne normande.
J’ai regretté quelques changements dans l’écriture qui m’a parue parfois s’adresser à de jeunes enfants, ce qui a un peu cassé le rythme, assez trépident, du récit ! Mais l’histoire n’en reste pas moins très intéressante et si vous désirez en savoir plus sur ces 177 fusiliers marins commandos, j’ai vu aujourd’hui que les Editions Pierre de Taillac vont sortir un livre intitulé : “Commando Kieffer : 177 visages du Jour-J" !
Et si ce roman reste fictionnel pour les 3 jeunes, il n’en reste pas moins un témoignage très intéressant qui s’adresse aux plus jeunes sur des héros bien souvent méconnus et oubliés de la Libération !
#LeCommandodudébarquement #NetGalleyFrance
Un petit roman fantasy qui fait bien son job comme on dit maintenant. Tout y est : sorcière, créatures mystérieuses, des méchants et des héros jeunes et courageux qui ne sont pas sans rappeler les personnages d'Harry Potter (2 garçons, une fille, Brisaine et sa cabane isolée fait penser à Hagrid). Un moment de lecture sympathique pour les pré-ados entre 9-11 ans
J’avais envie d’une lecture fraîche et entraînante, c’est pourquoi j’ai commencé Un ogre en cavale en premier lieu. J’avais aussi envie de découvrir la plume de Paul Beorn, dont j’avais beaucoup entendu parler après 14-14, que je n’ai malheureusement toujours pas pu lire.
La première chose que je dois dire à propos de ce livre, c’est qu’il se lit extrêmement vite – et facilement. En effet, malgré ses 275 pages, la police est plutôt grosse, et je l’ai lu en une heure seulement.
Malgré tout, j’ai trouvé que c’est un nombre de pages assez important pour un roman jeunesse, qui peut peut-être effrayer les plus jeunes. Il est tout à fait abordable bien sûr, du coup je trouverais ça dommage que l’épaisseur rebute.
On découvre Jeanne, une petite fille de douze ans, à l’hôpital car elle ne se sent pas bien. Seulement, un ogre arrive et lui vole son cœur ! Il est vite suivi par un mousquetaire et un chat, qui poursuivent l’ogre. Notre petite Jeanne veut bien sûr retrouver son cœur, sans quoi elle mourra. Elle se lance donc à la poursuite de l’ogre, à travers Paris.
Jeanne est très attachante, car elle a un fort caractère est une rêveuse. Elle croit à la magie, que Harry Potter existe, tout ça. Mais comme elle est jeune, elle semble un peu naïve, mais dans le bon sens, ce qui nous permet de bien s’attacher à elle.
Les autres personnages, c’est-à-dire le mousquetaire, le chat, mais aussi la jeune Victoire, sont tout aussi attachants ! Ils forment une sympathique petite bande qu’on prend beaucoup de plaisir à suivre.
J’ai cependant trouvé quelques petites choses dans leur relation un peu incongrues, comme (sans vous spoiler) tomber amoureux de quelqu’un en quelques heures… Mais bon, ce n’est pas la réalité, et c’est donc simplement « mignon » !
Ensuite, je trouve l’idée de base plutôt sympathique. Elle permet d’apporter un peu de magie, d’action, pour résulter en un petit roman efficace !
Bref, j’ai beaucoup apprécié cette lecture ! Je ne me suis pas du tout ennuyée, et j’ai découvert une plume très plaisante à suivre ainsi qu’une histoire très agréable à lire ! Je n’hésiterai pas à lire d’autres livres de Paul Beorn.
EN CONCLUSION, Un ogre en cavale est un court roman qui ravira petits et grands !
Grâce à son histoire simple et entraînante, je suis sûre qu’elle plaira à tous.
J’ai beaucoup apprécié suivre les aventures de Jeanne et de ses compagnons de fortune dans un monde envahi par un ogre fantastique !
Bref, si vous voulez une lecture légère et sympathique, vous savez vers quel roman vous tourner !
Paul Beorn est le premier auteur français moderne que je lis et pour une première, c'est une réussite !
Quelque chose m'est venu spontanément à la lecture des premiers chapitres et je m'en étonne : c'est le livre que j'aurai aimé écrire. Et c'est bien la première fois que je pense ça. Je crois que cet aveu contient toute la satisfaction que j'ai eue en le lisant.
L'histoire dépeint les aventures d'une jeune lectrice férue de personnages populaires tels que Harry Potter ou le Hobbit. Elle voit son monde terne et gris mêlé à un autre, scintillant et enchanté.
Un Ogre en cavale est un livre pour un jeune public, mais traite néanmoins de sujets importants et communs à tous les âges, comme l'appréhension de la mort et les complications qui y sont liées.
L'histoire m'a beaucoup plu car elle est écrite avec légèreté et humour - quelques passages m'ont fait esquisser un sourire (ce n'est pas donné à n'importe qui), et dans un dynamisme étourdissant. J'ai remarqué aussi que l'auteur avait un penchant pour les exagérations numériques et plus précisément les milliers "milliers d'éclats, mille morceaux". C'est amusant, je suis sûre qu'il y a un sens derrière cela.
Le fait que l'histoire se passe en France et non de l'autre côté de la Manche ou de l'Atlantique me rapproche de Jeanne, la protagoniste. Et la multitude d'indications géographiques ajoute de la vraisemblance au récit : on l'impression d'être à ses côtés. Et pour les provinciaux comme moi, la carte en double page à la fin du roman éclaire encore plus la visualisation que je me fais de l'espace.
La fin est bien tournée et conclue merveilleusement bien l'histoire. Toutefois, ça ne m'étonnerait pas qu'il y ait un deuxième tome car certains détails s'y prêtent.
Je recommande cet ouvrage pour les jeunes comme les moins jeunes.
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