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Nicci French

Nicci French
Sous le pseudonyme de Nicci French se cache un couple de journalistes, Nicci Gerrard et Sean French. Tous deux ont étudié la littérature anglaise à Oxford. Ils se croisent en 1989, et décident de partager leur vie et leur écriture. Ils ont écrit une dizaine de romans à quatre mains, un travail si... Voir plus
Sous le pseudonyme de Nicci French se cache un couple de journalistes, Nicci Gerrard et Sean French. Tous deux ont étudié la littérature anglaise à Oxford. Ils se croisent en 1989, et décident de partager leur vie et leur écriture. Ils ont écrit une dizaine de romans à quatre mains, un travail singulier qu'ils définissent comme « une folie à deux ».

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Avis sur cet auteur (78)

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    Couverture du livre « Fatal dimanche ; tout s'arrête » de Nicci French aux éditions Fleuve Editions

    Annie Boucher sur Fatal dimanche ; tout s'arrête de Nicci French

    J'avais lâché cette série depuis trop longtemps et donc eu du mal à me souvenir de tous ces personnages.
    Frieda Klein, psychothérapeute est encore et toujours en danger ainsi que ses amis proches. Un tueur imitateur de Dean Reeve sévit. Les amis de Frieda vont trinquer sévèrement. Meurtres, ...
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    J'avais lâché cette série depuis trop longtemps et donc eu du mal à me souvenir de tous ces personnages.
    Frieda Klein, psychothérapeute est encore et toujours en danger ainsi que ses amis proches. Un tueur imitateur de Dean Reeve sévit. Les amis de Frieda vont trinquer sévèrement. Meurtres, attaques atroces, enlèvements. Avec l'aide de la police et d'un détective privé elle va essayer de protéger ses proches et découvrir qui est ce tueur imitateur.
    Que de rebondissements !
    Une suite certainement dans " Le jour des saints "

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    Couverture du livre « Au pays des vivants » de Nicci French aux éditions Pocket

    Lison CARPENTIER sur Au pays des vivants de Nicci French

    Abbie Devereaux est kidnappée et séquestrée dans une cave par un tortionnaire dont le seul plaisir est de la regarder dépérir. Il y a eu d’autres victimes avant elle, mais Abbie trouve le courage et l’opportunité de s’échapper… Tout au moins physiquement, car l’emprise qu’a eu sur elle son...
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    Abbie Devereaux est kidnappée et séquestrée dans une cave par un tortionnaire dont le seul plaisir est de la regarder dépérir. Il y a eu d’autres victimes avant elle, mais Abbie trouve le courage et l’opportunité de s’échapper… Tout au moins physiquement, car l’emprise qu’a eu sur elle son ravisseur est tenace. Le retour à la vie est compliqué pour la jeune femme, qui a perdu tout souvenir des jours avant son agression. Dans un premier temps hospitalisée, elle se retrouve confrontée à l’incrédulité du personnel médical qui remet en cause son témoignage, ainsi que celui des enquêteurs qui la pensent dépressive. Pour Abbie, une chose est sûre, elle n’est nullement à l’abri à l’extérieur car le psychopathe court toujours.

    L’écriture se fait à quatre main, Nicci French étant le pseudonyme du couple d’écrivains britanniques Nicci Gerrard et de son mari Sean French. Au pays des vivants est un thriller efficace dont le suspense psychologique est maintenu tout au long du récit. Une intrigue à tiroir puisque Abbie est amnésique et doit retrouver la trace des jours et heures précédants son agression. Elle y parvient peu à peu, découvre son parcours, plutôt mouvementé et va de surprise en surprise jusqu’à ce que ses investigations forment une boucle et l’entraînent de nouveau vers son ravisseur. Si les personnages ne sont pas particulièrement attachants, l’intrigue tient en haleine par sa construction diabolique et quelques scènes glaçantes. Un bon roman de divertissement.

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    Couverture du livre « Sombre mardi » de Nicci French aux éditions Pocket

    La Pirate sur Sombre mardi de Nicci French

    Sombre mardi, Le jour où les vieilles dames parlent aux morts de Nicci French, traduit de l’anglais par Marianne Bertrand, Lizzie, 2018 (1ÈRE édition : Fleuve Édition, 2013).

    Sous le pseudonyme de Nicci French, écrivent deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de...
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    Sombre mardi, Le jour où les vieilles dames parlent aux morts de Nicci French, traduit de l’anglais par Marianne Bertrand, Lizzie, 2018 (1ÈRE édition : Fleuve Édition, 2013).

    Sous le pseudonyme de Nicci French, écrivent deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont cette série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières.

    Ayant repris la lecture de la série depuis le début, ce qui est préférable car chaque opus fait plus ou moins référence aux enquêtes passées, je me trouve beaucoup plus à l’aise avec la chronologie qui suit les jours de la semaine.
    En ce sombre mardi, l'inspecteur Karlsson et son équipe se trouvent confrontés à une scène de crime peu banale : le cadavre d’un homme nu, assis dans un fauteuil, une pâtisserie à la main, découvert par une assistante sociale dans l’appartement d’une jeune femme paumée, atteinte de troubles psychiques.
    L'inspecteur Karlsson fait appel à Frieda Klein et à son incomparable capacité à sonder l'âme humaine car, pour découvrir le meurtrier, il faut d'abord connaître la victime...

    Une histoire de manipulation, d’escroquerie, d’abus de confiance…
    Une galerie de protagonistes vulnérables ou machiavéliques…
    Une alternance de points de vue entre le déroulé de l’enquête et le parcours d’une étrange jeune femme…
    La présence familière de personnages récurrents dans l’entourage de Frida…
    Une belle description de Londres et de ses quartiers…

    Une série qui tient ses promesses avec un réel souci du détail révélateur.

    Dans la version audio, chez Lizzie, je continue à modérément apprécier la narratrice, Bénédicte Charton car si sa prestation est correcte pour les passages narratifs, elle contrefait trop sa voix pour les dialogues cherchant à donner des intonations particulières à tous les personnages. Je répète à l’envi qu’une lecture ne doit jamais être une interprétation…

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    Couverture du livre « Lundi melancolie » de Nicci French aux éditions Lizzie

    La Pirate sur Lundi melancolie de Nicci French

    Sous le pseudonyme de Nicci French, il y a deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont la série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les...
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    Sous le pseudonyme de Nicci French, il y a deux auteurs anglais, Nicci Gerrard et Sean French, qui ont co-écrit de nombreux thrillers, dont la série consacrée à Frieda Klein, une psychanalyste londonienne dévouée corps et âme à son métier au point de passer la majeure partie de son temps sur les dossiers de ses patients, pour tenter d’élucider les mystères qui les entourent. De ce fait, elle se retrouve souvent mêlée à des enquêtes policières.

    Comme souvent, je suis entrée dans la série, par hasard, sans suivre l’ordre chronologique et, finalement, décidé de tout reprendre depuis le début pour mettre de l’ordre dans ce que j’apprenais du parcours de Frida.

    Un collègue dépressif qui est aussi l’ancien mentor de Frieda dont il faut réorienter la patientèle et prendre en charge le rétablissement…
    Un patient perturbé par son désir de paternité… Il confie à Frida des rêves obsédants où évolue un petit garçon roux qui ressemble au petit Matthew Faraday dont la disparition récente fait la une des journaux.
    Confessions sur le divan en forme d’aveu ?
    Frieda peut-elle se permettre de manipuler l’inconscient d’un patient pour mener son enquête ?

    La narration est polyphonique, mêle le présent et le passé, alterne les points de vue, joue sur les impressions des enquêteurs et aussi des lecteurs. Il est question de l’inquiétude des parents, du deuil impossible de ceux qui ont perdu un enfant sans savoir ce qu’il est advenu de lui, de l’angoisse du petit garçon séquestré, du rôle des média, des enquêtes qui piétinent, de la pertinence et de la justification des moyens mis en œuvre…
    L’écheveau est alambiqué mais solide et, même si j’avais vu venir une partie du dénouement (liens entre frères, identité d’un personnage…), j’avoue avoir trouvé cette lecture captivante.
    J’ai apprécié de connaître les circonstances du début de l’amitié de Frieda et du transfuge ukrainien et de sa collaboration avec le commissaire Malcolm Karlsson.
    Les auteurs s’attachent à démêler les psychologies complexes des protagonistes et c’est ce qui fait l’originalité, selon moi, de cette série de romans. Plus que le déroulement d’une enquête aboutie, ce sont des parcours de vie, des relations de causes et de conséquences, des séquelles de traumatismes qui nous sont données à lire.

    Seul bémol dans la version audio, chez Lizzie : la voix des narratrices, Marianne Bertrand et Bénédicte Charton. J’avais déjà relevé dans un autre opus que Bénédicte Charton contrefait trop sa voix pour donner vie aux différents personnages. Je ne m’étais d’ailleurs pas rendu compte qu’ici, elles sont deux…
    C’est vraiment dommage et cela dessert le roman surtout pour l’accent russe et les voix d’enfants, insupportables.