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Ken Follett

Ken Follett
Ken Follett est né à Cardiff, au Pays de Galles. D'abord reporter, il dirige ensuite sa propre maison d'édition. En 1978, il écrit «L'Arme à l'œil», un thriller original qui rencontre immédiatement le succès. Depuis, il se consacre entièrement à l'écriture. Outre les romans d'espionnage comme «Le... Voir plus
Ken Follett est né à Cardiff, au Pays de Galles. D'abord reporter, il dirige ensuite sa propre maison d'édition. En 1978, il écrit «L'Arme à l'œil», un thriller original qui rencontre immédiatement le succès. Depuis, il se consacre entièrement à l'écriture. Outre les romans d'espionnage comme «Le Réseau Corneille» ou «Le Vol du frelon», Ken Follett a signé des fresques historiques telles que «Les Piliers de la Terre», «La Marque de Windfield», «Le Pays de la liberté» et des romans brûlants d'actualité comme «Le Troisième Jumeau», qui nous plonge au cœur des manœuvres inavouables liées aux découvertes de la génétique. Ses romans sont traduits dans plus de vingt langues, et six d'entre eux ont été portés à l'écran.

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Articles en lien avec Ken Follett (4)

Avis sur cet auteur (320)

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    Couverture du livre « Le siècle Tome 1 ; la chute des géants » de Ken Follett aux éditions Le Livre De Poche

    C. Souli sur Le siècle Tome 1 ; la chute des géants de Ken Follett

    Pour un livre de poche, c'est un gros pavé. Qui plus est, écrit en petits caractères. Il faut être motivé pour l'entamer. Mais une fois commencé c'est d'une lecture facile et vite accrocheuse.
    La multitude de personnages m'a fait craindre de devoir régulièrement revenir en arrière en me...
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    Pour un livre de poche, c'est un gros pavé. Qui plus est, écrit en petits caractères. Il faut être motivé pour l'entamer. Mais une fois commencé c'est d'une lecture facile et vite accrocheuse.
    La multitude de personnages m'a fait craindre de devoir régulièrement revenir en arrière en me demandant "c'est qui déjà celui-là ? Dans quelle situation l'ai-je laissé ?.…". En fait non, Follett à l'art de ne jamais nous perdre. Il s'arrange pour insérer des phrases dans ses débuts de chapitre, qui nous rappellent de façon assez fluide, où on en était et avec qui.
    Mais l'inconvénient est que ça entraîne beaucoup de redites, parfois mot pour mot, comme si l'auteur avait oublié qu'il l'avait déjà dit auparavant. Et il y a beaucoup de détails qui posent certes bien le décor, mais qui contribuent à l'épaisseur de l'ouvrage sans être indispensables.
    Et alors, on finit par discerner le mode de travail de l'écrivain qui se révèle un peu trop systématique. Et ce qui séduisait au départ finit par agacer.
    Par exemple, chaque apparition d'un personnage s'accompagne d'une description vestimentaire détaillée qui donne l'impression de lire une revue de mode. J'en suis venu à me dire que l'auteur avait fait un genre d'étude de marché et qu'il visait à s'attirer aussi un maximum de lectrices. le sujet général (Histoire, diplomatie politique, scènes de guerre...) assurant plutôt un lectorat masculin, pour s'attirer son pendant féminin il insiste sur ce style ""revue de mode "et sur les histoires d'amour de presque tous les personnages.
    C'est là un autre aspect qui a fini par particulièrement m'agacer.
    On bascule régulièrement sur des scènes et des dialogues à la guimauve, sur de l'érotisme graveleux qui n'a pas vraiment sa place dans ce type de roman. En tout cas pas de cette façon insistante. Un terme cru et vulgaire peut parfois tomber comme un cheveu sur la soupe dans un passage qui ne s'y prête pas du tout.
    Bref on a vraiment l'impression que Follett cherche à émoustiller la lectrice potentielle dans un calcul plus commercial qu'artistique.
    Résultat, ce livre n'arrive pas à se positionner. Doit-il être un roman purement historique à travers des sagas familiales ? Ou un roman érotique à l'eau-de-rose pour la "ménagère de plus de 50 ans"? Ou encore un simple essai documentaire retraçant les grandes heures, négociations et décisions qui firent les grands événements de ce début de siècle ?
    Car cet aspect là aussi ressort : un gros travail documentaire sur les relations diplomatiques internationales, les différents courants, les décisions prises, plus ou moins heureuses, les entrevues entre différents personnages de premier plan... Et pour relater cela, l'auteur glisse souvent ses infos dans les dialogues de ses différents personnages. Mais ça paraît trop artificiel. les dialogues sonnent faux et révèlent clairement l'intention de faire passer une information historique.
    Bon, j'ai l'air de beaucoup critiquer l'ouvrage mais j'ai quand-même bien aimé. La lecture est claire, ce n'est certes pas de la grande littérature, c'est clair. Le style n'a rien de remarquable. Mais c'est efficace.
    Si les scènes de bluettes gnangnans m'ont agacé, j'ai adoré les scènes d'action et de combats qui sont parfaitement immersives. Et dans l'ensemble, j'ai aimé la "vulgarisation" de la situation internationale qui mena à cette guerre et à l'émergence de l'esprit de révolution contre les sociétés aristocratiques. À l'émergence des états unis et, pour la Russie, du sovietisme, sur la scène mondiale. Toutes ces choses tellement complexes qui sont souvent un peu confuses dans nos esprits.
    J'ai aussi aimé apprendre des choses nouvelles comme le fait que des troupes européennes soient restées en Russie orientale pour protéger les restes des empires coloniaux qui s'effondraient et pour continuer à combattre, officieusement cette fois, contre le bolchevisme qui terrorisait tout le monde.
    Malgré ses défauts, je recommande donc ce livre à tous ceux un tant soit peu intéressés par l'histoire.

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    Scarlett19 sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    On retrouve avec un grand plaisir la ville de Kingsbridge, cette fois de la fin du 18e au début du 19e siècle. On suivra les évolutions technologiques du tissage qui entraîneront de grands bouleversements sociaux. Mais également des épisodes des guerres napoléoniennes jusqu’à Waterloo. Un grand...
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    On retrouve avec un grand plaisir la ville de Kingsbridge, cette fois de la fin du 18e au début du 19e siècle. On suivra les évolutions technologiques du tissage qui entraîneront de grands bouleversements sociaux. Mais également des épisodes des guerres napoléoniennes jusqu’à Waterloo. Un grand Ken Follett.

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    Couverture du livre « Les armes de la lumière » de Ken Follett aux éditions Robert Laffont

    sylvie adam sur Les armes de la lumière de Ken Follett

    Sal, fileuse, se retrouve veuve avec un jeune enfant, Kit. Elle en veut à Will, le fils du Seigneur, responsable de l'accident de son mari et est obligée de quitter son village pour aller travailler à Kingsbridge. Amos l'emploie mais est obligé de recommencer tout à zéro : son père avait...
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    Sal, fileuse, se retrouve veuve avec un jeune enfant, Kit. Elle en veut à Will, le fils du Seigneur, responsable de l'accident de son mari et est obligée de quitter son village pour aller travailler à Kingsbridge. Amos l'emploie mais est obligé de recommencer tout à zéro : son père avait contracté des dettes et quand il est décédé, Hornbeam, personnage machiavélique et diabolique, souhaite racheter son entreprise. Amos ne se laisse pas faire et aidé par un autre tisserand, Spade, il réussit finalement à s'en sortir. Quant à Elsie, la fille de l'évêque, elle aime Amos qui est aveuglé par une autre jeune femme. Elsie n'a plus qu'un but, celui de créer son école pour les enfants pauvres. La pauvreté est en effet partout, hommes, femmes et enfants travaillent durement mais le pain est de plus en plus cher, il faut financer les guerres. On voit ainsi évoluer ce petit monde. Amos, Elsie et Spade sont relativement ouverts. Quant à Sal, elle n'hésite pas à se révolter et à dire ce qu'elle pense. Le gouvernement ne travaille pourtant pas en faveur de son peuple et réprime toute révolte. On craint comme en France, une révolution. Hornbeam et Will s'associent pour faire régner cette oppression dans la ville.
    La révolution industrielle qui s'opère dans les filatures est très bien expliquée.
    Les machines remplacent les hommes qui ne demandent qu'à travailler. Les années passent et Kit sera démontrer son intelligence et de nouvelles perspectives vont s'ouvrir à lui. Malheureusement, en même temps, c'est Napoléon qui accroît son pouvoir et il faut encore se battre.
    Quelques chapitres sont alors consacrés notamment à la bataille de Waterloo.
    Les personnages principaux sont attachants et on craint souvent pour leur vie. Certains diront peut-être qu'il y a toujours les "bons" d'un côté et les "méchants" de l'autre, mais c'est ce qui fait finalement le roman. Un roman passionnant où les femmes sont mises en avant.

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    Couverture du livre « Le réseau Corneille » de Ken Follett aux éditions Le Livre De Poche

    Zaza sur Le réseau Corneille de Ken Follett

    Jamais déçue avec Mr Follett !
    L'auteur retrace la mise en place d'une équipe de 6 femmes ayant pour mission la destruction du central de transmission téléphonique des Allemands à Paris à la veille du débarquement des Alliés.
    Ces résistantes Anglaises auront maille à faire contre un colonel...
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    Jamais déçue avec Mr Follett !
    L'auteur retrace la mise en place d'une équipe de 6 femmes ayant pour mission la destruction du central de transmission téléphonique des Allemands à Paris à la veille du débarquement des Alliés.
    Ces résistantes Anglaises auront maille à faire contre un colonel Allemand diabolique et la Gestapo.