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Jose Carlos Somoza

Jose Carlos Somoza

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Avis sur cet auteur (22)

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    Couverture du livre « La théorie des cordes » de Jose Carlos Somoza aux éditions Actes Sud

    caro manil sur La théorie des cordes de Jose Carlos Somoza

    Livre en 9 parties. Cette histoire m'a beaucoup fait penser à un film avec Julia Roberts et Kevin Bacon, l'expérience interdite. Sauf un détail, les protagonistes dans ce livre ne joue pas avec la mort (quoique) comme dans le film mais avec le passé... Et de leurs expériences, ils ramènent une...
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    Livre en 9 parties. Cette histoire m'a beaucoup fait penser à un film avec Julia Roberts et Kevin Bacon, l'expérience interdite. Sauf un détail, les protagonistes dans ce livre ne joue pas avec la mort (quoique) comme dans le film mais avec le passé... Et de leurs expériences, ils ramènent une espèce d'entité malfaisante qui leur veut du mal. 2005 : un groupe d'élites scientifiques se réunit sur une île afin de tester la théorie du séquoïa. Théorie selon laquelle, en tirant les cordes du temps, il serait possible de retourner dans le passé... 2 périodes les intéressent, la ville de Jérusalem à l'ère du christ et l'ère jurassique. Ils y parviennent mais non sans conséquences, ils appellent ça "l'impact".
    2015 : Après les décès survenus de manière brutale et toujours inexpliqués de quelques uns d'entre eux, ils se réunissent de nouveau pour traquer ensemble "l'entité" qu'ils ont ramené de leur expérience 10 ans auparavant. Ils le nomment ZIGZAG.
    Bon, mon résumé est extrêmement simplifié mais en gros c'est ça... Cela n'a pas été une lecture facile car moi et la physique c'est un amour non réciproque !! Mais ça reste très abordable ... J'ai aimé cette histoire mais l'auteur a une façon assez spéciale d'instaurer du suspens qui m'a un peu déconcertée ... Il lance l'action sans que nous comprenions quoique ce soit (du coup je me suis perdue à plusieurs reprises) et ce n'est qu'en continuant la lecture qu'il revient en arrière pour nous l'expliquer. (Donc je me retrouve lol) mais sur le moment, on a l'impression d'être un peu largué, d'être passé à côté d'un truc ... mais non c'est sa façon à lui de raconter ! Si vous vous lancez dans cette pavasse, il faut accepter de ne pas tout comprendre et d'être déstabilisé ... mais ne vous inquiétez pas, vous finirez par tout comprendre !

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    Couverture du livre « Étude en noir » de Jose Carlos Somoza aux éditions Actes Sud

    Christine M sur Étude en noir de Jose Carlos Somoza

    Comment aimer et s'ennuyer d'un roman en une même lecture ? Eh bien, c'est chose faite. J'ai adoré la première moitié du roman, je me suis ennuyée ferme sur les deux tiers suivant avant de retrouver un intérêt pour le long dernier tiers. Malgré cette longueur, l'histoire est très originale.

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    Comment aimer et s'ennuyer d'un roman en une même lecture ? Eh bien, c'est chose faite. J'ai adoré la première moitié du roman, je me suis ennuyée ferme sur les deux tiers suivant avant de retrouver un intérêt pour le long dernier tiers. Malgré cette longueur, l'histoire est très originale.



    Pour parler un peu de l'histoire, on découvre Anne McCarey, une infirmière plutôt habituée au monde psychiatrique, quitter Londres pour s'occuper d'un patient à Portsmouth. En fait, on se rend compte que c'est plutôt pour fuir un homme, un marin qui partage sa vie. Violence, alcoolisme, pauvreté, elle tente de reconstruire sa vie ailleurs.

    Le patient dont elle va s'occuper, est pour le moins original : il se nomme Mr X, sa famille l'a placé en institution depuis son enfance, il joue du violon dans sa tête et se passionne pour les enquêtes policières. Oui, cela nous rappelle un personnage que l'on connaît fort bien : Sherlock Holmes. Et, c'est là toute la magie du roman. En effet, au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire, on a l'impression d'avoir affaire au vrai Sherlock Holmes. Est-ce lui ? ou bien une personne qui a inspiré le célèbre détective ?

    Puis un vagabond est retrouvé mort. Rien de tel pour affûter l'esprit de Mr X. Une enquête peu banale va commencer et se conclure de manière encore moins évidente. Mais, ça, je ne vais pas en parler.



    J'ai bien aimé toute la première partie du roman avec la découverte des personnages et surtout, je pense que c'est cela qui a titillé mon cerveau, la ressemblance avec la réalité. D'une part, avec Mr X. qui nous fait penser à Sherlock Holmes dans tous les codes, et d'autre part, par la présence du docteur Doyle. Car oui, il fait partie des personnages de ce roman et notamment, il a un personnage proche du réel Arthur Conan Doyle. Comme lui, il est médecin et particulièrement ophtalmologue, comme lui, il est écrivain mais il n'est pas encore publié, comme lui, il va créer un personnage de Sherlock Holmes. Tous ces petits détails font une frontière très fine entre la réalité et la fiction. Et, avant même que l'auteur en parle, j'avais mené ma petite enquête pour découvrir que la première enquête de Sherlock Holmes, est Une étude en rouge, même si les deux histoires n'ont rien à voir l'une avec l'autre, j'adore la relation, le jeu entre les deux. Il fallait y penser.

    Puis, on arrive sur la deuxième partie du roman, où l'on explore plus le "théâtre mental" qui pourrait correspondre à l'hypnose actuelle. J'avoue que cette partie-là, avec l'enquête, m'a fortement ennuyé. Pas d'action, on se perd un peu dans le fil conducteur, j'ai failli arrêter ma lecture à ce moment-là, car je ne retrouvais pas le même grain de folie qu'au départ.



    Heureusement, j'ai continué jusqu'à la résolution de l'énigme. Là, j'ai dévoré la fin tellement c'est prenant. Sincèrement, j'ai été endormie dans l'histoire et je n'ai pas vu cette fin arriver. Même si je ne doutais pas de certains points, à aucun moment, je n'aurais imagé cette personne en assassin. Ensuite, le dernier point de révélation sur Mr. X ? Wahoo ! Ça m'a bluffé ! Cependant, on n'a pas des réponses à toutes les énigmes, donc on peut supposer que le duo Mr X/Annie McCarley pourrait revenir ? En tout cas, cela ne me déplairait pas. Grâce à mon ami Google, j'ai vu qu'il s'agissait d'une trilogie dont le tome 2 est sortie en 2022. Il n'y a plus qu'à attendre la traduction, ou alors, je tente l'aventure en VO...



    Pourquoi j'ai eu envie de lire ce roman ? La couverture a aguiché mon œil. Le résumé qui laisse planer le mystère. Un intérêt pour tout l'univers de Sherlock Holmes. Enfin, ma période littérature espagnole du moment.



    Donc mélange entre ennui et véritable pépite, je ne sais pas trop comment me positionner sur ce roman, mais il mérite que l'on s'y arrête dessus. Un bon roman pour la plage cet été !

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    Couverture du livre « Daphné disparue » de Jose Carlos Somoza aux éditions Actes Sud

    Alex-Mot-à-Mots sur Daphné disparue de Jose Carlos Somoza

    Il y avait très longtemps que je n’avais pas lu l’auteur, dont le seul titre que j’avais parcouru m’avait déçu (Clara et la pénombre).

    Je m’attendais donc à quelque chose de bizarre en ouvrant ce roman. Le bizarre et l’étrange n’arrive que tard, ce qui m’a permis d’entrer dans la récit de cet...
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    Il y avait très longtemps que je n’avais pas lu l’auteur, dont le seul titre que j’avais parcouru m’avait déçu (Clara et la pénombre).

    Je m’attendais donc à quelque chose de bizarre en ouvrant ce roman. Le bizarre et l’étrange n’arrive que tard, ce qui m’a permis d’entrer dans la récit de cet écrivain amnésique qui revient sur la soirée de son accident.

    J’ai aimé que ce roman parle des écrits et de la mémoire ; des écrits changeant ou falsifié et de la mémoire imparfaite.

    J’ai aimé l’écrivain doutant de ce qu’il écrit : c’est un auteur, il est payé pour inventer.

    J’ai aimé son tic de se frotter le nez du pouce tout en agitant sa jambe droite quand il est stressé.

    J’ai aimé le leitmotiv « plein de fantaisie ».

    J’ai aimé que les personnages secondaires et de passage soient tous des écrivains d’après le narrateur.

    J’ai aimé Muse, payée pour faire ce que l’auteur la paye pour faire afin qu’il puisse écrire son passage.

    J’ai moins aimé la théorie du rabat qui présente le livre au lecteur afin que celui-ci ne soit pas perdu.

    J’ai passé un excellent moment de lecture dans ce labyrinthe qui continue jusqu’aux remerciements.

    L’image que je retiendrai :

    Celle du laurier présent sur les tables du restaurant dans lequel le narrateur a passé sa dernière nuit. Daphné signifiant laurier en grec.

    https://alexmotamots.fr/daphne-disparu-jose-carlos-somoza/

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    Couverture du livre « Clara et la pénombre » de Jose Carlos Somoza aux éditions Actes Sud

    Violette Citadine sur Clara et la pénombre de Jose Carlos Somoza

    Roman surprenant et addictif par l'approche de l'art de façon vivante: les oeuvres sont des personnes mises en scène selon le bon vouloir de l'artiste. A lire !

    Roman surprenant et addictif par l'approche de l'art de façon vivante: les oeuvres sont des personnes mises en scène selon le bon vouloir de l'artiste. A lire !