Entretien avec Jean-Marie Laclavetine, écrivain et éditeur incontournables de Gallimard
Entretien avec Jean-Marie Laclavetine, écrivain et éditeur incontournables de Gallimard
Entretien chez Gallimard avec l’éditeur Jean-Marie Laclavetine
Rentrée littéraire janvier 2017 éditions Gallimard
Ingrid Desjours nous dévoile sa bibliothèque idéale
Alors la saga Malaussène se terminerait par un Terminus ? Je n'ai pas envie d'y croire !
- parce que voilà 38 ans que Benjamin Malaussène est un ami proche de ma famille et que je ne veux pas le perdre de vue.
- parce que Daniel Pennac a encore une palanquée d'histoires à raconter.
- parce que je veux savoir ce que sont devenues les jumelles de Louna.
- parce que la 3ème génération des Malaussène a encore beaucoup de choses à faire pour sauver le monde et que la 4ème n'a pas dit son premier mot.
- parce que l'écriture de Daniel Pennac est comme une migration d'oiseaux sauvages, qu'elle arabesque, strie et redessine le ciel et que si elle disparaît c'est comme une lumière qui s'éteint (oui je sais : j'amalglomère les métaphores et les comparaisons).
- parce que Terminus Malaussène est un feu d'artifice et je refuse que ce soit le bouquet final.
- parce que même si ce dernier (noooooon !) roman referme tout ce qui était resté en suspens dans les romans précédents, je suis sûre que des questions, des énigmes subsistent, bien cachées au creux des péripéties de la tribu.
- parce que l'imagination de Daniel Pennac est une corne d'abondance, un pays de Cocagne, une myriade d'images et de situations burlesques, dramatiques, tendres, tragi-comiques (aucune mention n'est inutile), une symphonie de liberté et d'humanité et qu'il est impossible d'imposer silence à une telle profusion.
- parce qu'en relisant tous les ouvrages malaussèniens, je m'aperçois :
1. qu'ils se bonifient avec l'âge (comme les très bons crus).
2. que l'écriture se fait de plus en plus inventive et virtuose.
3. que les aventures des Malaussène gagnent en fantaisie au fil des volumes et que la narration s'affine en jouant avec tous les codes littéraires.
par conséquent le prochain sera encore plus talentueux que Terminus Malaussène qui est d'emblée génial.
- parce que, même si Benjamin Malaussène et la galerie de personnages qui l'accompagne sont des êtres de papier, ils font partie de notre vie, de notre histoire. Il est inconcevable qu'ils nous laissent abandonnés à nous-mêmes et à notre quotidien routinier voire tristounet.
- parce que Zola a écrit 20 romans sur les Rougon-Macquart et qu'avec les Malaussène on est loin du compte.
- parce que "Terminus Malaussène" donne vraiment et impérieusement envie que l'histoire continue et que Daniel Pennac se remette vite à écrire la suite !
Inconditionnelle de D. Pennac
Il me ramène à la lecture (et parfois à la vie) quand je commence à flancher.
Très bon opus.
Merci
Portée par la verve de l’auteur, je me suis replongée facilement dans l’histoire après une interruption de plusieurs années.
Rien n’a changé ou presque : ce dernier opus – en date – de la saga Malaussène rassemble les enfants et petits-enfants de « Maman » chacun né d’un père différent et souvent anonyme, qui se regroupent dans leur Q .G. parisien, une ancienne quincaillerie dans le quartier de Belleville, sous l’œil bienveillant du fils aîné, Benjamin, père idéal dans une famille élective, bouc émissaire de profession, et autour desquels les amis, les collègues, les conjoints et les rencontres qui savent apporter chaque fois des péripéties supplémentaires à l’épopée familiale. Le chien Julius (n°3) est toujours là avec ses effluves malodorants.
Le cas Malaussène tome 2 : Terminus Malaussène est la suite de Le cas Malaussène, tome 1 : Ils m’ont menti. L’homme d’affaires, Georges Lapietà, kidnappé précédemment pour un « happening » inoffensif se retrouve une seconde fois kidnappé par une bande armée en vue d’une rançon. L’intrigue facétieuse de ce nouveau pseudopolar ne s’écarte pas de ce qui a fait le succès de la saga. Il consiste à reprendre, simultanément avec la police mais sans coordination, les victimes aux seconds kidnappeurs. L’action prime et les rebondissements s’enchaînent à un rythme effréné.
La foi de Daniel Pennac dans l’humanité et le pouvoir de l’écrit paraissent bien intacts.
Lire plus sur anne.vacquant.free.fr/av/
Qu'est ce qu'un cancre.? Comment est-il perçu par sa famille et surtout par l'éducation nationale et les professeurs qui y enseignent ? Quel sera celui d'entre eux qui vous donnera l'envie, la confiance de passer du statut de cancre à celui de professeur. Le goût des livres, le plaisir d'apprendre.C'est l'histoire des enfants en échecs scolaires, des drames d'adolescent qui disent :" je n'y arriverai jamais " et le professeur Daniel Pennachioni de poser cette question. "Qu'est ce que ce y, dans je n'y arriverai jamais ?" C'est un hommage à tout ces professeurs, ces directrices d'école qui sont une main tendue. Comme l'écrivait Marivaux:"dans ce monde il faut être un peu trop bon pour l'être assez."
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