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Aurelie Benattar

Aurelie Benattar
Aurélie Benattar, 42 ans, habite en Israël dans le désert de Judée.

Avis sur cet auteur (5)

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    Couverture du livre « Spirit era : racine » de Aurelie Benattar aux éditions Librinova

    Les Fantasy d'Amanda sur Spirit era : racine de Aurelie Benattar

    Quelle bonne surprise que ce premier tome, d'autant qu'il s'agit d'un roman auto-édité. Au départ, j'étais sceptique à l'idée qu'un programme virtuel puisse réussir à sauver le monde, et pourtant... L'auteure m'a embarquée dans ses idéaux et, surtout, dans son univers que j'ai trouvé aussi...
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    Quelle bonne surprise que ce premier tome, d'autant qu'il s'agit d'un roman auto-édité. Au départ, j'étais sceptique à l'idée qu'un programme virtuel puisse réussir à sauver le monde, et pourtant... L'auteure m'a embarquée dans ses idéaux et, surtout, dans son univers que j'ai trouvé aussi original que foisonnant.

    Certes, tout n'était pas parfait (la première partie manque un peu de rythme et les événement s'enchaînent parfois trop facilement), mais les raccourcis empruntés servent le dynamisme de l'histoire.

    Et puis, je me suis tellement attachée à l'héroïne, Rae, que j'ai hâte de connaître la suite !

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    Découvrez d'autres avis sur mon blog spécialisé en imaginaire : https://lesfantasydamanda.wordpress.com

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    Couverture du livre « Spirit era : racine » de Aurelie Benattar aux éditions Librinova

    Léna Bubi sur Spirit era : racine de Aurelie Benattar

    Je tiens tout d’abord à remercier Aurélie Benattar pour m’avoir permis de découvrir son nouveau roman en me proposant de le lire ! Gardant un bon souvenir de son histoire Luna Viva : le tournoi des voyantes, j’étais enthousiaste à l’idée de retrouver sa jolie plume, encore plus lorsque j’ai...
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    Je tiens tout d’abord à remercier Aurélie Benattar pour m’avoir permis de découvrir son nouveau roman en me proposant de le lire ! Gardant un bon souvenir de son histoire Luna Viva : le tournoi des voyantes, j’étais enthousiaste à l’idée de retrouver sa jolie plume, encore plus lorsque j’ai parcouru le résumé de Spirit Era annonçant un sacré programme à travers la quête d’une mystérieuse clé afin d’éviter la fin de l’humanité…

    Nous sommes en 2035. Un énigmatique personnage se faisant appeler le Protecteur a annoncé une funeste nouvelle : le jour où aura lieu l’apocalypse, le jour marquant le début du néant ou du chaos, le 27 juillet 2037. Cependant, il reste un espoir reposant sur les épaules de sept adolescent.e.s. Venant des quatre coins du monde, chaque candidat.e a été sélectionné.e pour le lien profond entretenu avec un des 7 chakras. A travers sept missions à effectuer au sein d’un programme virtuel nommé Spirit Era, les sept élu.e.s vont devoir trouver sept clés capables de sauver la Terre et les êtres…

    On suit l’histoire principalement aux côtés de Rae, une héroïne devenue muette depuis la mort de son père. Mais ce n’est pas parce qu’elle ne parle plus qu’elle ne peut communiquer avec les autres, au contraire, et c’était intéressant de voir comment elle s’en sortait, par l’écrit et la gestuelle. Une belle brochette de personnages nous est offerte : chacun.e possède sa propre personnalité et histoire, j’ai même hâte d’en savoir plus sur certain.e.s… J’étais captivée par le petit groupe et les autres personnages gravitant autour comme les mentors. La tâche à accomplir, l’énigme à résoudre crée une tension qui tient en haleine, en étant nourrie par les relations tissées : entre confiance et méfiance, secrets et confidences, les jeunes vont devoir s’entraider et travailler en équipe s’ils veulent réussir !

    "La métamorphose est difficile, car elle va d'abord contre soi."

    J’ai adoré les thèmes abordés, totalement d’actualité, qui font beaucoup réfléchir ! Entre écologie, environnement, technologie et spiritualité, ce premier tome pose une belle base prometteuse pour la suite. On sent que l’intrigue a été mûrie en souhaitant partager des valeurs importantes : sur le changement, sur l’amélioration de notre comportement envers les autres (tolérance, respect, bienveillance) et de notre mode de vie (consommation plus saine, mieux équilibrée, surproduction à bannir) pour évoluer dans un meilleur environnement. L’amitié est également centrale puisqu’elle se cultive grâce à nos différences et aux particularités de chacun.e pour mieux s’épanouir, pas seulement de nos points communs !

    Il peut y avoir des moments plus lents, moins intenses, mais c’est normal pour que l’action puisse ensuite se déchainer ! Certaines scènes m’ont parfois paru floues, se déroulant un brin vite avant de faire advenir la suite. Elles ne sont toutefois pas nombreuses, puis l’écriture fluide et agréable d’Aurélie Benattar m’a fait tourner les pages sans problème ! On comprend les émotions des personnages, leurs réactions ne sont pas invraisemblables, pas difficile pour un sou de s’attacher au p’tit groupe !

    Pour terminer, si vous avez envie de découvrir un récit intrigant, captivant et véhiculant des messages essentiels sur notre manière de vivre ensemble, notre environnement et la nature, n’hésitez pas à vous lancer dans Spirit Era !

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    Couverture du livre « Un corbeau au 36 » de Aurelie Benattar aux éditions Pocket

    jml38 sur Un corbeau au 36 de Aurelie Benattar

    Un corbeau, ou plutôt une corneille, semble avoir fait son nid au 36 Quai des Orfèvres, laissant des messages particulièrement explicites sur la présence d'un prédateur sexuel au sein du siège de la police judiciaire, le commissaire Stéphane Fontaine ayant trouvé le premier sur son bureau. Ce...
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    Un corbeau, ou plutôt une corneille, semble avoir fait son nid au 36 Quai des Orfèvres, laissant des messages particulièrement explicites sur la présence d'un prédateur sexuel au sein du siège de la police judiciaire, le commissaire Stéphane Fontaine ayant trouvé le premier sur son bureau. Ce n'est pas du tout du goût de Jacqueline Moreau, la directrice de la PJ, qui tient à découvrir le plus rapidement possible l'auteure de ce sacrilège, tout en maintenant une parfaite discrétion, une telle affaire pouvant porter un sérieux coup à la la réputation et la crédibilité de la vénérable institution.

    Pour aider Stéphane chargé de faire toute la lumière, Anne, nièce de la directrice et graphologue de la police scientifique, est rattachée à cette enquête. Le commissaire se serait bien passé de de cette affaire de corbeau, étant déjà bien occupé par le meurtre d'une professeure qu'il suit avec le groupe du commandant Legrand, et de sa collaboration avec la spécialiste en écritures qui n'a pas débuté sous les meilleurs auspices, une certaine incompatibilité d'humeur s'étant tout de suite faite jour.

    Les deux affaires - voire même plus - sont traitées simultanément pour notre plus grand plaisir. Celle du corbeau reste tout de même centrale, avec en prime l'évolution de la cohabitation entre le commissaire, dont la relation avec les femmes souffre de quelques a priori machistes, et l'experte plutôt réfractaire de prime abord à la personnalité et au charme de l'officier.

    L'instinct d'enquêteur et le professionnalisme prenant le dessus sur les états d'âme, Stéphane et Anne, tout en s'apprivoisant doucement, unissent efforts et compétences pour faire face à une situation d'urgence absolue, avec un tueur dans la nature, et un 36 secoué par un séisme menaçant la cohésion de l'édifice.

    L'auteure nous invite à une visite du siège mythique de la police parisienne – déplacé depuis dans le quartier des Batignolles -, et à faire mieux connaissance avec l'organisation des groupes de la brigade criminelle et l'atmosphère du lieu. L'intrigue à tiroirs est bien construite, le récit est fluide et efficace, respectant un certain classicisme dans l'écriture, tout en n'hésitant pas à aborder des sujets sensibles.

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    Couverture du livre « Un corbeau au 36 » de Aurelie Benattar aux éditions Pocket

    Manue14 sur Un corbeau au 36 de Aurelie Benattar

    J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman et à découvrir la vie de ces personnages différents les uns des autres.
    Les personnages sont attachants, ils ont un présent mais aussi un passé, ce qui donne une vraie dimension à l’histoire.

    L’enquête se déroule bien, Aurélie Benattar crée...
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    J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman et à découvrir la vie de ces personnages différents les uns des autres.
    Les personnages sont attachants, ils ont un présent mais aussi un passé, ce qui donne une vraie dimension à l’histoire.

    L’enquête se déroule bien, Aurélie Benattar crée plusieurs enquêtes en même temps, et nous lance sur de fausses pistes.
    Le lecteur découvre en même temps que les enquêteurs les indices, les preuves, les suspects…
    L’auteur raconte l'histoire à travers différents points de vue même si ces derniers sont externes ce qui met tout de même une barrière.
    Il y a parfois des pensées des personnages mais cela reste rare. J’aurais aimé avoir plus de passages avec un point de vue interne.

    Pour ce qui est des personnages on sent qu’Aurélie Benattar a pris le temps de créer un passé, un présent mais aussi une personnalité. Ce qui manque un peu ce sont les descriptions physiques des personnages. Il y en a mais elles restent pour moi un peu légères.
    J’aurais aimé avoir plus de détails aussi concernant les messages laissés, ou les scènes de crime. Je ne suis pas arrivée à totalement m’imaginer les passages, c’est dommage.

    La première partie de l’histoire se compose de trois parties. L’histoire se concentre sur des messages laissés à différents endroits. L’auteur commence doucement à brouiller les pistes et le lecteur peut lui aussi chercher à savoir qui est l’auteur des lettres.
    Dans la partie "Le noël de la corneille", Aurélie Benattar met en avant un personnage de l’équipe de l’enquête. A partir de là je trouve que l’histoire prend une autre dimension et les secrets de certains personnages sont dévoilés.
    Dans la dernière partie, on découvre enfin la vérité et certaines choses que le lecteur n’imaginait pas sont expliquées.

    La fin est bonne, elle résume bien la vie d’un des protagonistes important de l’histoire. Ce qui est un peu frustrant c’est qu’on ne sait pas vraiment ce que va être le futur des personnages. Je ne sais pas s’il y a une suite et si on va retrouver les personnages dans d’autres enquêtes mais en tout cas je pense que ce sont des personnages qui pourraient être encore plus exploités et que l’on pourrait retrouver dans d’autres romans.

    http://fais-moi-peur.blogspot.fr/2015/03/affaire-n035-un-corbeau-au-36-daurelie.html