Quelles sont les conséquences de la sécheresse en France ? Est-il possible d’éviter un scénario catastrophe ? Dans son ouvrage Une France sans eau, Vincent Lucchese s’est lancé dans une enquête colossale en sillonnant la France à l’été 2022 tandis que la canicule se faisait ressentir à tous les niveaux.
Interrogeant des scientifiques, des agriculteurs ou encore la municipalité de communes particulièrement touchées par le problème, la majorité des prismes et des regards converge vers les mêmes inquiétudes : et si la sécheresse devenait une norme ? Evoquant puissamment l’urgence de trouver une solution concrète à cela tout en se heurtant aux obstacles à surmonter, Vincent Lucchese plonge son lecteur tête la première dans les enjeux de l’eau et sa préciosité.
Entretien avec Vincent Lucchese pour son ouvrage Une France sans eau (éditions Alisio) : « La grande idée est de ralentir le cycle de l’eau »
- Quel a été l’élément déclencheur qui vous a poussé à démarrer cette enquête sur la disparition de l’eau ?
Vincent Lucchese : Il n’y a pas forcément d’épiphanie mais les actualités régulières sur les villes et les villages en manque d’eau m’ont poussé à me plonger davantage dans le sujet. Nous avons pu voir dans les médias les lieux ravitaillés par des camions-citernes l’été dernier et c’est assez surprenant de voir qu’en France il y a une accentuation exponentielle du problème. Ça m’a donné l’envie d’explorer, creuser et me demander à quel point nous allions être vulnérables car trois, c’est le nombre de jours qu’un humain est capable de survivre sans eau, sans quoi il meurt. On parle donc bien d’une question vitale et pourtant, malgré le haut degré de complexité technique et le confort de notre société, des communes manquent d’eau. Cela pose tout de même des questions sur sa résilience.
- De nombreux points sont abordés dans Une France sans eau, allant de l’explication du cycle de l’eau aux actions concrètes pour limiter actuellement les dégâts. Comment vous êtes-vous organisé pour élaborer ces travaux titanesques ?
Vincent : Ce sujet peut vite vous submerger mais j’avais cette volonté première de rester général car je n’avais pas du tout pour but de faire un livre sur le nucléaire ou l’agriculture. Plutôt montrer qu’en creusant le sujet, il y a deux grands champs de consommation qui émergent, d’où la division du livre en plusieurs parties. La première consiste à comprendre par la science comment le cycle de l’eau s’organise et quelles sont les perspectives d’évolutions climatiques et hydrologiques. Je développe ensuite deux grands axes sur les pôles de consommation d’eau. Il y a aussi derrière cela une volonté philosophique de ne pas forcément attirer l’attention sur les petits gestes écoresponsables qui peuvent parfois dépolitiser mais d’expliquer que les enjeux se jouent avant tout « plus haut ». Les petits gestes aident bien sûr marginalement à réduire notre consommation d’eau mais le principal effort à faire se joue dans l’agriculture et dans l’énergie.
- A l’été 2022, notamment pour les besoins de votre ouvrage, vous partez sur plusieurs territoires français afin de « constater » les ravages de la canicule et de la sécheresse par vous-même. Etait-ce une façon de vous ancrer davantage dans ce que vous étiez en train d’écrire et comprendre cette réalité en pleine crise ?
Vincent : Bien sûr, et c’est aussi ma plus-value journalistique. Je ne suis pas chercheur et tous ces sujets sont bien souvent complexes et abstraits. Il est compliqué d’aborder quelqu’un en lui parlant de ppm (NDLR : unité de mesure pour calculer le taux de pollution dans l’air, notamment le taux de CO2 dans l’atmosphère), réchauffements globaux, etc. Je l’évoque brièvement mais tout cela reste abscons et peu concret. S’ancrer dans un territoire fait davantage sens. J’ai rencontré le maire de Morteau dans le Doubs pour qui manquer d’eau potable a été un réel choc ou des agriculteurs inquiets face à la récurrence des changements et sécheresses. C’est quelque chose que de se confronter à ces enjeux à l’échelle de citoyen.
- Au gré du chemin, vous avez également interrogé des climatologues, hydrogéologues, spéléologues… Quelle place souhaitiez-vous donner à ces spécialistes dans l’enquête ?
Vincent : En tant que journaliste, j’ai une liberté de parole que les scientifiques ont beaucoup moins car ils doivent toujours s’en tenir à leurs études. Leur transcription reste souvent très opaque et pourtant, lorsque l’on discute avec eux, ils sont souvent terrorisés par leurs propres résultats et se permettent d’en parler de plus en plus dans les médias. C’est important de rappeler, et j’y tiens dans ce livre, que l’on est sur une parole scientifique étayée trop peu prise en compte par les décideurs politiques. Quand un chercheur vous dit que ce qui est en train de se passer l’inquiète gravement, ça vous fait un drôle d’effet…
- Vous évoquez 2022 comme année « emblématique » pour comprendre ce qui nous attend, pourquoi ?
Vincent : Parce que contrairement à ce que l’on pense, la France est très sensible aux changements climatiques. D’après le rapport du GIEC, nous sommes sur un territoire qui se réchauffe rapidement et, m’appuyant sur des études que je mentionne dans mon livre : pour un réchauffement mondial d’une moyenne de +2,7 degrés, en France nous sommes à +3,8 degrés. Cela signifie que l’on va vers +5 degrés l’été ! Tout le monde a en tête la canicule, les soucis sanitaires et agricoles, etc. : tout cela pourrait devenir la norme. Les nappes phréatiques ont fortement souffert en 2022 mais elles bénéficiaient des réserves accumulées en 2021, qui avait été beaucoup moins catastrophique. Si les années d’extrêmes s’enchaînent, que l’on fait face à de plus en plus de sécheresses pluriannuelles, la résilience des eaux souterraines, des cours d’eau et des plantes va devenir beaucoup plus compliquée...
« C’est incroyable à dire mais des solutions sont déjà disponibles. »
- Etablir cette enquête à l’échelle de la France en pleine sécheresse ou s’intéresser à ces paysages à la fois diversifiés et fragiles, était-ce une façon de mieux toucher le lectorat, l’initiant de ce fait aux changements de son propre lieu de vie ?
Vincent : Oui. Il faut comprendre que le réchauffement climatique, ce n’est pas seulement l’Antarctique qui fond ou les états insulaires du Pacifique qui disparaissent bien que ce soit totalement dramatique. Cela peut paraître très lointain pour certaines personnes alors que nous ressentons également ces problématiques à notre échelle. Le plus inquiétant là-dedans, c’est la vitesse avec laquelle les choses changent. Certains disent que l’on s’adaptera mais avoir un climat méditerranéen en Bretagne d’ici trente ans, ça ne laisse le temps ni à la flore ni aux acteurs économiques de réellement le faire.
- L’agriculture a également une place de choix dans le livre. On lit que les émissions de CO2 comme le méthane sont l’une des principales causes du réchauffement. S’imaginer modifier cet acteur puissant de nos alimentations ne parait pas vertigineux ?
Vincent : Si, complètement. C’est pour cela que j’essaie d’expliquer les données du problème mais je n’ai pas une grande solution clef en main car celle-ci reste malheureusement politique et je ne souhaitais pas forcément que mon livre le devienne même si j’esquisse quelques pistes. Beaucoup d’agriculteurs souhaitent avoir la certitude qu’ils pourront conserver le même niveau de revenus s’ils irriguent moins, sans quoi ils ne suivront pas le mouvement. Le problème, c’est qu’ils sont incités par la politique agricole commune à aller vers des produits bas de gamme, destinés à l’export, ou des cultures qui nécessitent énormément d’eau. On ne peut pas totalement les pointer du doigt non plus, ils ont besoin d’être accompagnés dans une transition avec des aides de l’état. La solution devra être collective et j’essaie aussi de transmettre ce message à mon lecteur. Je donne aussi dans le livre l’exemple d’agriculteurs qui n’irriguent pas, produisent donc moins… mais gagnent plus d’argent ! Car ils ont moins de dépenses, moins d’intrants chimiques et vendent plus cher leurs produits valorisés en bio...
- Ces mêmes agriculteurs pourraient être les acteurs d’un changement à très grande échelle ?
Vincent : Oui. C’est incroyable à dire mais des solutions sont déjà disponibles. Pas besoin d’OGM ou de drones high-tech pour nous sauver, il suffit de faire des choses très simples comme replanter des haies, des arbres au système racinaire profond, faire de l’agroécologie (NDLR : méthodes de productions agricoles respectueuses de l’environnement), de la polyculture… C’est ce que m’expliquaient les chercheurs travaillant sur les zones agronomiques expérimentales que j’ai pu citer dans le livre : la grande idée est de ralentir le cycle de l’eau. Tout l’enjeu est d’avoir moins de sécheresse et de permettre au sol d’absorber davantage d’eau. Bien sûr, faire de l’agroécologie est une chose, mais il faut aussi faire des efforts ailleurs. Par exemple, consommer moins de viande pour réduire ces émissions de CO2.
- Vous écrivez : « Le climat dépend avant tout de nos comportements ». Cette phrase est lourde de sens et de responsabilités pour l’avenir…
Vincent : Oui, mais je parle avant tout de notre rapport à la viande, à l’agriculture et nos comportements de consommation à plus large échelle. On sait que les émissions de gaz à effet de serre sont essentiellement liées, hors production d’énergie, aux transports, à l’agriculture et aux industries qui tous dépendent de nos comportements, à l’échelle collective, politique. Si l’on ne veut pas subir cette sécheresse, il faut réduire drastiquement nos émissions non pas dans trente ans mais tout de suite. Moins consommer pour moins polluer, c’est très efficace !
- La dernière partie de votre ouvrage met en avant de multiples façons de préserver cette eau si précieuse. Que peut-on réellement espérer dans le futur en agissant à notre échelle ?
Vincent : Disons que même si l’on est optimiste, les choses vont changer. Il y a une part d’évolution climatique qui est inéluctable. Pour donner l’exemple des glaciers dans les Pyrénées, on sait qu’ils vont disparaître. Dans les Alpes, au moins la moitié également. Plus globalement, on sait que l’on aura moins d’eau. Un avenir désirable serait celui dans lequel on apprend à consommer moins tout en ayant une vie économique saine. On remarque justement que les gens s’éveillent de plus en plus et réalisent que non, mettre en garde contre cette sécheresse, le changement climatique ou agir de manière radicale en tout état de cause, ce n’est pas juste une rébellion d’étudiants chevelus.
Propos recueillis par Marie Jouvin
On aime, on vous fait gagner Une France sans eau, de Vincent Lucchese
Tentez votre chance pour gagner des exemplaires de Une France sans eau, de Vincent Lucchese (éditions Alisio).
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Bravo aux gagnants ! Vous recevrez le livre dans les prochains jours :
JAENCV ; Dominique Jouanne ; Ninie ; Domi Mots ; MLC
À propos de l'eau, j'ai entendu hier aux informations, sur la 6, qu'en fait maintenant les municipalités utilisaient l'eau de la piscine pour arroser les plantes, et nettoyer les vélos les voitures... En fait l'eau elle est traitée, pour enlever le chlore et après on utilise pour faire ce genre de choses. Alors qu'avant l'eau était carrément jetée...
Le sujet m'interresse alors j'ai suivi le lien pour en savoir plus sur le livre : pour vendre ou pour informer ? L'interview m'a séduite :, à lire et à partager ! Le passage en particulier :
"- De nombreux points sont abordés dans Une France sans eau, allant de l’explication du cycle de l’eau aux actions concrètes pour limiter actuellement les dégâts. Comment vous êtes-vous organisé pour élaborer ces travaux titanesques ?
Vincent : Ce sujet peut vite vous submerger mais j’avais cette volonté première de rester général car je n’avais pas du tout pour but de faire un livre sur le nucléaire ou l’agriculture. Plutôt montrer qu’en creusant le sujet, il y a deux grands champs de consommation qui émergent, d’où la division du livre en plusieurs parties. La première consiste à comprendre par la science comment le cycle de l’eau s’organise et quelles sont les perspectives d’évolutions climatiques et hydrologiques. Je développe ensuite deux grands axes sur les pôles de consommation d’eau. Il y a aussi derrière cela une volonté philosophique de ne pas forcément attirer l’attention sur les petits gestes écoresponsables qui peuvent parfois dépolitiser mais d’expliquer que les enjeux se jouent avant tout « plus haut ». Les petits gestes aident bien sûr marginalement à réduire notre consommation d’eau mais le principal effort à faire se joue dans l’agriculture et dans l’énergie."
Merci.
Un sujet crucial.
La pénurie d'eau est une annonce de catastrophes planétaires. Des drames humanitaires qui se jouent depuis plus de 30 ans dans le sud de l hémisphère menant à des famines des guerres et des déplacements de populations, viennent toquer à nos portes européennes.
Un livre que j'aimerais vraiment recevoir.
Bel été (?)!!
Dominique
Bonjour,
Merci pour cet interview qui donne envie d'en savoir plus sur cette guerre de l'eau qui a déjà commencé, à mon avis, il y a une vingtaine d'année et qui n'est pas prête de s'arrêter compte tenu des décisions actuellement prises par nos dirigeants qui ne sont pas du tout à la hauteur du problème. L'ouvrage de Vincent Lucchese pour "Une France sans eau" va me permettre d'avoir une version plus objective je pense et je serais très content de recevoir ce livre.
Bonne semaine à tous
L auteur indique qu un être humain ne peut vivre que 3 jours sans eau et que la température en France se réchauffe plus rapidement que la moyenne au niveau mondial ! Étant très attirée par les sujets écologiques , je lis actuellement un livre sur les oiseaux et leur disparition progressive , je souhaiterai avoir connaissance de cette enquête sur l’eau .
Bonjour,
Ce n'est pas particulièrement l'interview qui m'attire vers cette étude, mais plutôt la température chez moi et mon jardin tout sec.
Alors sa c est bien vrai et sa pourrais bien arriver avec se réchauffement climatique c est sûre, certains pays d afrique font des kilomètres pour aller chercher de l eau est creuser la terre jusqu a épuisement, il faut y penser er recycler notre eau c est vital ,un livre très intéressant à découvrir pour voir jusqu'au irons nous pour pouvoir ne pas arriver là
Habitant à Lyon où les étés sont de plus en plus caniculaires, voilà un sujet qui me concerne et m'intéresse beaucoup. De plus, j'aime beaucoup lire tout ce qui est journalisme d'investigation, je tente donc volontiers.
L'ensemble me semble très documenté et il est vrai que ce thème est particulièrement intéressant !
Bonjour, je suis très curieuse de découvrir cet essai car la France découvre qu'elle est elle aussi touchée par des pénuries en ressources en eau, collectivités, particuliers... chacun est désormais concerné et ce recueil de témoignages semble etre riche
Beaucoup d'informations à découvrir
Enfin une enquête accessible à tous ! Sur un sujet vital, sur lequel on entend et on lit un peu tout et n'importe quoi. Du plus simpliste au plus savant, sans vraiment comprendre et intégrer les enjeux environnementaux, politiques, économiques et sociaux.
Je suis très curieuse de découvrir cet essai, qui me parait très bien construit, et vous remercie de le promouvoir.
Le manque d'eau, on en parle beaucoup en ce moment et cela m’inquiète. Alors, en savoir plus sur la question m’intéresse. Et si la sécheresse devenait une norme ? Le journaliste Vincent Luchesse parle de l’urgence de trouver une solution concrète à cela, et j'aimerais connaitre son avis à travers cet essai
merci pour cette interview passionnante
Merci ! Je tente ma chance pour découvrir cet ouvrage sur ces thèmes de plus en plus cruciaux que sont l'eau et les problématiques de sécheresse
Comment être insensible au réchauffement climatique et au problème crucial de l'eau ? Je suis curieux d'en apprendre un peu plus sur cette problématique !
Bonjour.
S'il vous plait, je souhaite participer.
Merci.
Ce livre ne se veut pas politique mais bien une « source » d’information.
Bonjour,
Je voudrais lire ce livre pour voir s'il va me donner un espoir pour les générations futures qui à mes yeux sont foutues parce que l'humain, quoi qu'il arrive, persiste à aller droit dans le mur. Et malheureusement, cela se vérifie dans plusieurs thématiques que je suis avec grand intérêt dont celle de l'environnement et donc de l'eau.
C'est comme si on était tous dans un train fou et qu'on allait droit dans le mur, beaucoup le savent mais le train continue son avancée folle et le mur arrive droit sur nous, jusqu'au moment où le crash arrive et là, il n'y aura pas de retour en arrière.
Soit disant les technologies vont sauver la situation mais à chaque fois, c'est la même rengaine, l'idée est bonne à la base mais elle est très vite détournée de son objectif de base.
Comme pour l'alimentation avec le nouveau logo HVE (haute valeur environnementale, voir l'émission sur le front sur le sujet), une belle grosse arnaque et le consommateur plonge et ce sont les agriculteurs bios qui trinquent! Le monde à l'envers!
Bref, pour moi, on est déjà dans l'entrée de la fin de notre civilisation, et je ne suis vraiment pas sûre que la prochaine s'en sortira mieux.
Bonjour l eau est vitale ce sujet est très inquiétant et concerne tout le monde si à ma petite échelle il y a des astuces ds ce livre j en ferai part je croise les doigts
Bonjour et merci beaucoup pour nous aider à gagner ce livre. Je tente ma chance parce que le sujet de l'eau me tient vraiment à coeur et le chapitre sur les actions que nous pouvons mener individuellement m'intéresse particulièrement
Un sujet est un très bon livre à decouvrir car note planète est bien en danger , on va vers des catastrophes imaginables, c est sérieux il faut bien étudier le sujet et je pense que je jeune auteur a bien étudier se danger à découvrir avec plaisir
Bonjour et merci pour cette proposition je tente ma chance pour ce livre tellement d'actualité et qui me touche particulièrement . merci lecteurs.com pour mettre toujours en avant de très bons sujets
Bonjour, j'aimerais lire ce livre car pour préserver l'eau l'auteur semble s'être inspiré du "bon sens paysan".Ceux qui nous gouvernent nous donnent des solutions bureaucratiques et inefficaces. Demander conseils aux acteurs sur le terrain sera toujours plus intelligent que suivre les directives de hauts fonctionnaires n'ayant jamais vu une source. Laissons péter les vaches et plantons des haies!
Ce sujet m'intéresse
Bonjour, j'aimerai découvrir ce livre car il me semble qu'il n'est pas n nouvel ouvrage culpabilisant mais informatif et qui pourrait aider à y voir plus clair, comprendre et donc agir. bon été à vous;
Une enquête honnête et exhaustive sur un sujet brûlant qui devrait nous toucher tou.te.s au plus haut point, je serais ravi de la lire.
« Le climat dépend avant tout de nos comportements »
Cette phrase a elle seule nous invite à lire cet ouvrage... Si chacun prend conscience de ses actes et de leurs conséquences, on peut réussir à ralentir les effets néfastes sur le climat.
J'ai hâte de decouvrir cette enquête
Merci merci
"Ce sujet peut vite vous submerger"
Cette phrase m'a amusée.
Plus sérieusement, j' ai envie de lire un livre scientifique, documenté et depassionné (les bassines...) sur un enjeu qui nous concerne tous.
Bonjour, merci pour cette opération.
Le sujet de l'eau et du changement climatique me semble être un enjeu majeur dans les prochaines années.
Ce genre d'enquête m'intéresse donc tout particulièrement.
Je croise les doigts...
Bonjour,
Ce sujet m'intéresse.
Merci
je souhaite en savoir plus! apparemment il n'y a pas que du négatif...et cela ne dénonce pas les politiques mais le comportement de chacun. Cela me fait un drôle d'effet d'écrire cela depuis un petit village gravement inondé!
C'est clairement le genre d'enquête qui doit être passionnante, et qui nous concerne tous et toutes.
Le sujet de l'eau est tellement d'actualité qu'il est difficile de faire l'impasse sur ce livre-enquête.C'est pourquoi je tente ma chance, espérant trouver peut-être quelques solutions à ce manque d'eau qui est déjà en cours..
« Moins consommer pour moins polluer »… belle idée, vaste programme ! J’aimerais découvrir toute cette enquête !
Bonsoir, je participe volontiers d'autant plus que le thème m'intéresse vraiment !
C'est un ouvrage forcément intéressant, qui n'a pas l'air culpabilisant.
Il a l'air aussi positif !
Bonjour, ce qui dans cette interview me donne envie de lire cet ouvrage sont les solutions que l'on peut mettre en oeuvre pour éviter la pénurie d'eau.
Bonsoir, j'ai trouvé l'article très intéressant car je suis très sensible par rapport à l'environnement, à l'écologie, aux animaux et que je suis très inquiète par rapport au réchauffement climatique. Bonne soirée à tout le monde.
Il va en falloir des "livres coups de poing" pour changer les consciences et les comportements... J'ai envie de croire qu'on peut encore agir collectivement et il me semble, en lisant cette interview, que ce livre donne des réponses concrètes (même si l'impact de nos actions individuelles est faible, on peut agir en donnant de la voix à travers les asso notamment). C'est dans en tout cas un sujet vital pour notre avenir à tous.
"Le climat dépend avant tout de nos comportements" et je partage entièrement l'opinion de Vincent Luchesse. Depuis longtemps, je tente de ne pas gaspiller l'eau, devenue si précieuse. Ce qui m’intéresse dans l'enquête de ce journaliste lucide, c'est de mieux comprendre les enjeux d'une sècheresse qui s'installe à demeure et comment on peut y remédier ou, du moins, en atténuer les risques.
J'aimerais mieux connaitre les perspectives d’évolutions climatiques et hydrologiques et je suis curieuse de découvrir l'enquête de terrain.
Moins consommer pour moins polluer, ce précepte me parle vraiment. Alors, j'espère vraiment pouvoir lire cet essai qui s'appuie sur des exemples, des témoignages réels, ce qui en fait son intérêt .
Bonjour, Je tente ma chance pr tenter de gagner cet ouvrage dont le sujet me tient vraiment à coeur !
J’aime beaucoup l’idée que ce livre ne se veut pas politique mais bien une « source » d’information j’aimerais beaucoup le découvrir