80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La vingtième édition du festival "Visa pour l'image" s'annonce comme un immense succès. Pour Jacques Leprince, son fondateur, cette année devrait même être celle du couronnement. Et l'exposition du photoreporter russe, Piotr Potakov, sur un massacre commis par l'armée russe en Tchétchénie, va, à coup sûr, remuer l'opinion publique.
Mais à quelques jours de l'inauguration, le rêve à portée de main de Jacques Leprince va basculer dans l'horreur absolue. Une effroyable tuerie, qui vise directement le festival, a lieu dans l'enceinte même du couvent des Minimes. Et très vite, le crime odieux va tourner à l'affaire d'Etat, sur laquelle planera rapidement l'ombre des services secrets russes...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année