Une fin d'année riche en découvertes et rattrapages littéraires...
Et si tous les insectes du monde se mettaient soudainement à communiquer entre eux ? À s'organiser ?
Nous ne survivrions pas plus de quelques jours.
Entre un crime spectaculaire et la disparition inexpliquée d'une jeune femme, les chemins du détective Atticus Gore et de la privée Kat Kordell vont s'entremêler. Et les confronter à une vérité effrayante.
Des montagnes de Los Angeles aux bas-fonds de New York, un thriller implacable et documenté qui va vous démanger.
Une fin d'année riche en découvertes et rattrapages littéraires...
Absolument génial
un Chattam moins noir je trouve que d'autres opus
je dirais pas un peu déçue mais il manque ce petit truc déjanté et la phrase que je me dis à chaque fois : comment trouve t il toutes ces idées
évidemment des meurtres via des insectes cela est original, mais voilà il manque ce petit truc qui nous lecteur nous donne le frisson, et dont on se dit : ce type est fou
cela ne m’empêchera pas de lire ses prochaines sorties !!!!
Me voici réconciliée avec Maxime Chattam dont je m’étais éloignée depuis La Patience du Diable, un livre qui m’avait semblé assez racoleur, auquel je n’avais adhéré.
Un(e) Secte: le titre interpelle, le jeu de mots est éloquent et donne envie d’en savoir plus. Je me lance donc et traverse ce pavé à grande vitesse, très concentrée pour ne pas en rater une miette car l’intrigue est consistante… J’émerge de ces 450 pages, ébahie, posant un nouveau regard sur chaque insecte ailé, scolopendre, araignée et autres bestioles… Le récit, qui mêle policier et science-fiction, débute par un premier chapitre prometteur, une scène d’attaque par le « petit » peuple des insectes ( dont on compte tout de même en moyenne un milliard cinq cent millions d’individus pour un être humain…) très réussie. Il faudra toutefois être patient et atteindre la seconde moitié du livre avant de revivre une telle expérience horrifique… Le temps aux deux principaux protagonistes de mener chacun de leur côté et par alternance de chapitre, leurs enquêtes respectives… Dans un zoo abandonné de Los Angeles, le squelette d’un nommé Oscar Riotto est retrouvé dépourvu de ses chairs. La quarantaine, Atticus Gore, policier du LAPD dans une mauvaise phase, accepte malgré lui cette affaire qui n’est pas de son ressort, mais qui pourtant va le combler : ancien étudiant en entomologie, il retrouve sa passion première lorsque le médecin légiste lui assure que la victime a été dévorée en quelques heures par une multitude d’insectes… A New York, une détective privée, Kat Kordell est chargée de retrouver une jeune femme, Lena, disparue en laissant derrière elle un message énigmatique. Ces deux enquêtes finiront par s’entremêler lorsque sera mise en cause une firme multinationale, EneK, dont le dirigeant, Edin Kowalski aux bras tentaculaires, tente de convaincre Atticus Gore de lâcher l’affaire… Mais Gore, qui pourtant est un homme pétri de contradiction, ayant du mal à s’assumer, est « un flic au service des hommes et de la liberté« , intègre et déterminé, convaincu que l’heure est grave et que sa mission doit être menée jusqu’au bout.
Outre une psychologie des personnages principaux assez bien « disséquée » (deux êtres solitaires, en proie au doute, qui vont au-delà de leurs préjugés…), ce roman soulève quelques réflexions sur notre société : la surconsommation, le capitalisme, l’hégémonie des grandes firmes multinationales, le pouvoir et l’argent… C’est assez grandiloquent mais efficace et divertissant.
Retrouvez mes chroniques sur https://loeilnoir.wordpress.com/
Amis entomophobes ce libre n'est pas pour vois! Fuyez-le!
Le décor: un parc où un cadavre, si on peut l'appeler ainsi est retrouvé dans des conditions étranges. Sur les lieux du crime atticus gore va découvrir des insectes, mais le plus surprenant est que ce sont leur quantité et les nombreuses familles d'insectes qui s'y trouvent, car habituellement elles ne se côtoient pas et ne se trouvent pas au même moment sur un cadavre. Le détective va devoir trouver les circonstances de ce décès et surtout la cause.
Parallèlement kat kordell, détective privee, est à la recherche d'une jeune fille Lena. Sa mère est inquiète de sa disparition... les deux enquêtes vont se croiser par l'intermédiaire des détectives qui vont l'un et l'autre suivre leur piste qui les mèneront dans les dédales de la vie des marginaux et sans domiciles fixes. Dans ce monde de marginaux de nombreux hommes et femmes disparaissent dans des conditions étranges. Pourquoi? Que sont-ils devenus ? Kat et atticus se retrouveront sur les traces des enfants de Jean à Carson Mills, une secte gérée par un grand directeur.....
Mais que trame-t'il? Je vous laisse le découvrir
Les premieres pages décrivant l'attaque des victimes par des insectes de tout genre peut en inquiéter plus d'un. Dès que l'on évoque certaines bestioles, on sent des picotement, des grattements irrépressibles, une peur indicible et irraisonnée. D'autant plus quand on est dans la notion d'un monde infiniment plus petit que soi. Et l'adage "une petite bête ne peut tuer la grosse bête" perd de son sens.
Puis c'est au tour d'Atticus Gore d'entrer en scène, avec un nom assez bizarre, un personnage complètement différent des flics de polars. Amateur de musique , pour une fois loin de la musique classique et des opéras, il apporte une note très particulière dans le monde de la police. L'actualité est très présente tout au long du récit : réchauffement climatique, surpopulation, difficultés sociales, pauvreté et misère. La détective Kat, est, elle aussi, sympathique avec toutes ses questions existentielles. L'intrigue se déroule sans temps morts, on passe de l'univers d'un personnage à l'autre en attendant le moment où leurs pérégrinations vont les faire se rejoindre. Cela fonctionne bien et c'est un livre que j'ai eu plaisir à lire. Il y a une suite annoncée et j'espère qu'elle ne se fera pas attendre trop longtemps.
Atticus GORE, inspecteur sur le district de Hollywood reçoit un code 187, qui signifie "meurtre" pour lequel ils trépignent tous, mais il est en repos, pourquoi l'as-t-on appeler ?
Sa collègue Marcia, insiste car c'est tout ce que tu aimes.
Atticus est intrigué se rends sur les lieux du crime, le corps est parsemé d'insectes, il a étudié l'entomologie à l'université avant de rentrer dans la police.
Il sait par avance que cette affaire va devenir très différente des autres et surtout très intéressante.
12e livre de Maxime CHATTAM, je suis toujours très heureuse de retrouver son écriture, et je sais aussi que c'est un auteur qui aime se mettre en danger, qui suis ses instincts et peut faire des choses différentes, donc je me sens toujours, surprise, enthousiasmée et surtout cela me promet une excellente lecture.
Le début m’a beaucoup plu, les deux personnages principaux, Atticus GORE et Kat KORDELL, un inspecteur et une détective privé que je vais suivre en alternance, je les ai trouvées très atypiques, assez intéressant et qui servait vraiment le récit.
Mais le problème de ce livre, et oui à mon humble avis, il y a un, c'est que l'action as mis énormément de temps à se mettre en place.
Nos deux protagonistes tournent en rond, que moi j'ai fini par m'ennuyer me lasser.
Avec cet auteur, je me suis habituée être accrochée à ces livres, mais je n'ai pas ressenti cette tension, ce suspens pour lequel j'aime tant le lire.
Heureusement que pour la troisième partie, et la fin du livre, l'intérêt est revenu, et j'aurais aimé que toute la trame soit de cet effet.
Je ne peux pas dire que c'est une déception, mais une chose est claire, cela sera le livre que j'ai moins aimé.
Mon avis reste mitigé, il manque quelque chose, peut être un manque de rythme, je n’ai pas trop compris la construction de ce livre, ou au début on commence vraiment bien, et ensuite on stagne pour repartir de plus belle.
Je dois reconnaitre que cet opus comme les autres est très documenté, et le sujet est pertinent et toujours très passionnant.
C'est une des qualités que j'accorde à Maxime CHATTAM, il aime faire des choses très différentes, mais là je n’ai pas totalement adhéré, et ce genre de construction, je suis certaine qu'il a plus énormément, mais avec moi ça ne l’a pas fait.
Mais je garde ma fidélité à cet auteur et j'attends avec impatience le prochain.
https://www.nathlivres.fr/l/un-e-secte-de-maxime-chattam/
Meurtres sordides au rendez-vous, histoire bien construite, chapitres percutants, phrases courtes pour un super thriller qui donne des frissons avec des bébêtes rampantes, grimpantes ou encore volantes. L’écriture est simple mais efficace à 100% comme dans tous ses romans. Le lecteur est amené progressivement vers un final explosif à couper le souffle. Maxime Chattam est capable de nous tenir en haleine jusqu'à la toute dernière page.
Un thriller grouillant d'insectes qui nous fait frissonner de plaisir
https://www.bejiines.fr/2020/01/livre-une-secte-maxime-chattam.html
Entomophobes, arachnophobes, fuyez ce thriller, comme la peste! Non, je rigole! Enfin, pas tant que ça peut-être… Cela risque de vous démanger tout le corps…
Si vous avez déjà lu Maxime Chattam, vous devez savoir qu’il est un des auteurs français les plus doués de sa génération, surtout en matière de suspens.
Une fois n’est pas coutume, on retrouve l’auteur au sommet de son art. Maxime Chattam fait partie de mes auteurs de thriller favoris avec entre autres Franck Thilliez pour ne citer qu’eux deux. Autant je les adore, autant j’aime garder leurs livres sous la main, ne voulant pas les dévorer trop vite une fois parus, détestant devoir attendre les suivants.
ici, je n’ai pas eu la patience nécessaire…. Dès sa publication, je me le suis procuré et j’étais impatiente de partir en congé pour le savourer pleinement. C’est chose faite et quel plaisir!
D’un côté, vous avez Atticus Gore, détective à Los Angeles, enquêteur assez atypique, dont la réputation a été mise à mal par des échecs professionnels. Et de l’autre, Kat Kordell, détective privée de New York missionnée par la mère d’une jeune fille disparue. Entre New York et Los Angeles, les deux enquêtes vont finalement s’enchâsser et tels les fils de la toile d’araignée, tout s’imbriquera après de nombreux rebondissements à vous retourner le cerveau.
Certains lecteurs avaient été déçus par le virage opéré par Maxime Chattam dans son livre, « L’appel du néant ». Au contraire de ceux-ci, j’avais trouvé osé ce revirement mais ici, on retrouve l’auteur de sa période d’écriture de « La trilogie du mal ». Page-turner muni de courts chapitres, une fois plongé dedans, vous en serez accaparé. Mais quelle torture de devoir attendre l’écriture de son prochain thriller. Heureusement, il me reste encore « Le signal » à découvrir et je pense sérieusement à me replonger dans toute sa bibliographie.
Au milieu de ce monde de l’infiniment petit qui risque de vous hanter encore bien longtemps et de venir vous chatouiller la nuit, une chanson me vient à l’esprit « The sound of silence », dans sa version reprise par le groupe Disturbed.
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