"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« J'avais envie de retrouver un homme et une femme capables de se jeter dans le vide par amour. Parce que c'est vivre sans amour qui est l'enfer. »
Elle s'appelle Aurore, lui Simeone. Un soir d'automne, ces deux inconnus au désespoir, qui croient n'avoir plus rien à perdre, engagent la conversation. Commence alors une nuit qui ne ressemble à aucune autre. Au matin, rien ne sera plus comme avant...
Une rencontre romanesque, poétique, fulgurante.Notes :
Mamihlapinatapai provient du livre de Laurent Nunez, Il nous faudrait des mots nouveaux, Editions du Cerf, 2018.
Extrait de la chanson Déshabillez-moi, interprétée par Juliette Gréco, écrite par Robert Nyel et composée par Gaby Verlor. Philips.
Extrait de la chanson À chaque fois, écrite et interprétée par Monique Andrée Serf, alias Barbara. Warner Chappell Music.
Extrait de La Chèvre de M. Seguin, Alphonse Daudet, Bibliothèque Charpentier, 1895.
Extrait de la chanson La nuit je mens, écrite par Alain Bashung et Jean Fauque, éditée par Osez Joséphine et Polygram Music.
Extrait de la chanson Paris au mois d'août, écrite par Charles Aznavour et Georges Garvarentz. Barclay.
Extrait de la chanson Mon Dieu, de Michel Vaucaire et Charles Dumont. Les Nouvelles Editions Meridian, 1960.
Extrait du poème de Robert Desnos, « À cinq heures , in État de veille, 1943.
Extrait de Aïda de Guiseppe Verdi, livret d'Antonio Ghislanzoni, d'après Auguste Mariette.
À la fin de la partie de Simeone, il s'agit de la symphonie n°5 de Mahler et surtout de son magnifique adagietto.
Écouter ce livre audio, bien que court (moins de 4 heures), s'avère être une déception. Les récents écrits de cet auteur m'avaient déjà laissée sur ma faim, et celui-ci ne fait que confirmer cette tendance. Visiblement, cet auteur ne correspond plus à ce que je recherche.
L'histoire d'amour que Grégoire Delacourt dépeint est excessivement dramatique, irréaliste, et imprégnée d'un lyrisme artificiel qui rend les phrases dénuées de sens à mes yeux. Cela sonne faux et semble fabriqué.
Ensuite, le récit de cette femme, provenant d'un milieu aisé, au bord de l'effondrement après que son mari l'a quittée, décidant de passer la nuit avec un inconnu pour éviter de retourner chez elle et de faire face à son départ, tout en s'offrant une chambre luxueuse à 500 euros avec petit-déjeuner (ouf le petit déj est compris !).
Au fil des minutes, ces deux personnages vont "discuter" sur l'AMOUR… Cela est simplement ennuyeux et peu crédible.
Ce texte manque de sincérité et, malheureusement, sonne totalement faux à mes oreilles..
Je suis contrariée de devoir exprimer une critique aussi peu positive, mais j'avoue être agacée par ce genre de lecture.
Bien évidemment, ce n'est que mon humble avis et je suis ravie que cette œuvre trouve son public, même si elle ne trouve pas écho en moi.
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