80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Diane Allard a tout d'une femme comblée.
Journaliste vedette à la télévision, elle présente les éditions du week-end et un magazine d'investigation. Mère d'une ado et d'un garçon autiste, elle a bataillé pour les élever seule, sans son premier amour, reporter de guerre, tué accidentellement en Irak. Mais Diane a trouvé avec Henri, son second mari, le réconfort chaleureux d'un haut fonctionnaire qui sait l'aimer et lui offrir la vie dont elle a toujours rêvé. A plus de 50 ans, à force de travail et d'obstination, elle a réussi sa carrière et sa vie de famille.
Pourtant, elle va mettre en péril ce bel équilibre. L'émission qu'elle décide de consacrer aux trains de la déportation l'entraîne beaucoup plus loin qu'elle ne l'avait imaginé et elle se retrouve au centre d'une controverse politique et d'un séisme familial.
Mise à pied, menacée de mort, la vie professionnelle, amoureuse et familiale de Diane va basculer. Elle doit affronter une nouvelle épreuve et non des moindres : rester fidèle à elle-même et garder le cap.
Et si cette histoire qui fait du bruit allait lui permettre de trouver sa vérité ?
Entre comédie familiale et tragédie historique, Françoise Laborde dévoile aussi dans ce roman les ressorts de l'emballement médiatique et ses ravages.
Ex-journaliste sur France Télévisions, Francoise Laborde est désormais membre du CSA -Conseil supérieur de l'audiovisuel-, elle est l'auteur, aux Editions Fayard, de Ma mère n'est pas un philodendron (2003), Pas de panique, Maman est là ! (2005), C'est encore mieux à 50 ans ! (2007), Ca va mieux en le disant (2008).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année