A l'occasion du Congrès eucharistique de 1952, un évêque latino-américain au passé trouble est hébergé dans une famille catalane ; un coup d'Etat dans son pays l'entraîne dans de rocambolesques péripéties à travers les rues de Barcelone. Le fils d'une célèbre ophtalmologue soudain décédée rentre précipitamment d'Afrique pour recevoir à Bruxelles un prix prestigieux au nom de sa mère, et prononce une diatribe contre le milieu scientifique. Un criminel incarcéré s'initie à la littérature grâce à une professeur qui enseigne dans les prisons et devient un auteur de best-sellers. Dans ces trois récits, les saints, comme on peut s'y attendre, ne sont ni des martyrs ni des anachorètes, mais des fous ou des génies prêts à renoncer à tout pour une idée.
Un traitement plus sobre dans l'écriture que dans l'hilarant "sans nouvelles de Gurb". Ici point d'humour mais une interrogation sur le statut de saint. Présenté sous la forme de 3 personnages bien différents les uns des autres.
Je préfère le Mendoza à l'écriture enjouée et aux situations cocasses.
Trois vies de saints
Trois vies de saints
Trois vies de saints
Trois vies de saints
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