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Ce livre est centré sur un projet de traduction spécifique, celui de rendre en français le roman Southern Steel (1953), de l'Australienne Dymphna Cusack. Grande amie de Miles Franklin, elle se fit le chantre d'une littérature véritablement australienne par ses thèmes et par sa langue. Ce roman, situé à Newcastle en 1942 et peuplé de personnages truculents qui parlent la langue colorée des ouvriers ou des marins, est aussi une peinture acerbe des effets de la guerre sur la ville. À partir d'un tel texte, quelle était la meilleure façon de mener à bien le transfert de langue et de culture ? Comment pouvait-on traduire les spécificités de l'anglais australien et rendre en français les désignateurs de référents culturels ? Ce livre propose une analyse de plusieurs approches de traductologues, en particulier de ceux qui se sont intéressés à la problématique du transfert du culturel, pour tenter de trouver des solutions concrètes qui, loin d'être toujours entièrement satisfaisantes, ont l'avantage de montrer que le traducteur, confronté à l'obligation de choix, doit parfois savoir se distancier de la théorie pour rester au plus près du texte.
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