"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 1923, Khalil Gibran publie Le Prophète qui sera un succès mondial. La même année, May Ziadé publie discrètement Ténèbres et lueurs. Les deux « amants » correspondent depuis 1912 si bien qu'un souffle commun inspire les deux oeuvres. Dans plusieurs textes, l'écrivaine semble s'adresser à lui comme dans « Toi l'étranger » et bien d'autres. Cet ouvrage reprend les thèmes chers à cette écrivaine : l'enfance, la quête existentielle, la patrie, la peur du temps qui passe. Enseignée dans tous les pays arabes, ses textes semblables à des poèmes en prose sont aussi des prises de position sociologiques et humanistes. Ce recueil est inclassable tant l'esprit de l'auteure y est éclectique. Jamais cette passionaria de la littérature arabe n'avait été traduite à ce jour.
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