La vie tranquille d'un professeur de poésie est bouleversée par sa rencontre avec un groupe de terroristes : les " gangsters ". Il entame alors un trépidant périple littéraire.
Au cours de ce voyage, le lecteur fait de mémorables rencontres, parmi lesquelles : la muse du poète, " Livre de Chansons " ; un réfrigérateur flambant neuf, réincarnation de Virgile ; Henri IV, un matou bibliophile amateur de lait-vodka.
Entre science-fiction, traité philosophique, poésie, roman noir et autobiographie, Sayonara Gangsters est une oeuvre d'une originalité sidérante, souvent drôle voire hilarante, parfois incroyablement émouvante.
Un roman extrêmement déroutant, absurde et métaphysique. Drôlissime, pourvu que l'on accepte son côté très décalé.
Dans un monde futuriste, les modes de vie sont étranges et décalés. Les personnes n'ont plus de nom, ou plutôt, peuvent avoir tous les noms possibles : chacun peut nommer ses pairs à sa guise, si bien qu'une personne peut répondre de plusieurs noms difficile. La mairie vous envoie par courrier l'annonce de votre mort le matin lorsque vous allez mourir dans la journée. Et bien sur, il y a les gangsters, qui sèment la crainte et ont tous les droits.
Un roman complètement décalé et loufoque par moment, très humoristique si l'on prend quelque recul.
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