"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" un certain goût pour la mort à l'anglaise a peu à peu conduit l'américaine elizabeth george à nourrir ses romans à la façon des fictions victoriennes ".
François rivière, libération. " toutes les manifestations de l'étrangeté humaine passionnent elizabeth george. ses études de psychologie sont au service de son imagination et de son fabuleux sens de l'observation ". pierrette rosset, elle. " méthodique et perverse, elizabeth george met à nu la crise d'une société anglaise hypocritement dissimulée sous le vert gazon de ses impeccables jardins ". michel abescat, le nouvel economiste.
" miss george se love dans les listes de best-sellers et les crimes les plus monstrueux avec des voluptés de chatte anglaise frôlant la cheville de jack l'eventreur un soir de fog. signes distinctifs de ses livres : toujours " un goût de cendres ", de dépression et d'hystérie, des assassins aux mobiles sombres, auxquels les mystères de la parentèle sont rarement étrangers, des enquêteurs récurrents et pittoresques, dont un lord salarié de scotland yard, une fille du peuple et un expert en médecine légale.
Une violence réaliste, un nuage de perversion sexuelle et des dialogues d'une précision maniaque ". michel grisolia, l'express. " elle est venue discrètement s'installer au premier rang des " reines du crime anglo-saxon " ". christian gonzalez, madame figaro. " elizabeth george, là plus littéraire de toutes. ". pascale frey, lire.
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