"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
«Je peux te dire que c'est une divine sensation de s'aimer. Bette Davis a toujours eu de l'estime personnelle. Comme Katharine Hepburn. Une femme super.» Sirotant leur jus ou parcourant indifféremment les pages du journal, quatre amies échangent leurs réflexions sur la représentation de la femme américaine, s'interrogent sur la disparition de ces «wonderful women» du temps passé. D'autres noms sont égrenés, Joan Crawford, Claire Trevor, Jean Arthur, Susan Hayward. L'une d'elles, restée jusque-là discrète, éclate en sanglots. Cette confiance en soi, elle avoue ne l'avoir jamais trouvée. On lui apporte un verre d'eau, elle se calme. Et soudain, séchant ses larmes: «J'aimais Rita Hayworth. Elle était belle».
Paddy O'Day. The Game That Kills. Convicted. Police montée. Seuls les anges ont des ailes, bien sûr. The Strawberry Blonde, évidemment. Ô toi ma charmante. La Reine de Broadway. Gilda - ah, Gilda... La Dame de Shanghaï, absolument. La Belle du Pacifique. Sur la route de Salina.
Rita.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !