Car il n'est d'abord qu'à laisser parler le poème plutôt que disserter sur lui, ou sur le poète : Il se déprend de la grande fatigue Des berceuses marines à l'air léger De la chaude et obscure caverne intime A cet espace de claires zébrures heurté Le son soyeux de son souffle est régulier Rien de plus fort qu'Eliot qui dort Drapé dans l'odeur surette du lait caillé Il dort tout entier A la confiance en l'amour maternel Et sa douce ronde infinie Alors émerveillés de lui ils le regardent Etre là
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