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C'est Paul qui parle, un paysan fruste et violent qui ne chérit que ses bêtes.
À ses côtés sa femme, détestée et muette, souffre d'un mal qu'il refuse d'admettre. Lorsque l'ouvrier Georges, le temps d'une saison, s'installe chez eux à la ferme, le regard de Paul insensiblement se transforme.
Parfaitement glauque et sordide.
Paul est un paysan frustre, primaire, violent surtout avec sa femme et ses enfants, sauf avec ses bêtes.
On est au plus profond de la campagne profonde, au plus profond d’une âme d’arriéré.
L’arrivée d’un ouvrier portugais venu pour une saison va légèrement modifier sa perception des choses, des gens et de la vie.
Le tour de force de ce roman est d’être écrit à la première personne, c’est Paul qui raconte sa vie, sa ferme, sa famille. Et il parle vraiment avec les tournures de phrases du paysan arriéré qu’il est.
Le pire c’est que j’en connais un comme lui. Fort heureusement, il est célibataire
Une écriture dépouillée à l'extrême, des mots qui sonnent justes, un univers rural rude voire brutal. Noëlle Revaz parvient à insuffler une vraie humanité à ses personnages. A découvrir pour l'atmosphère déroutante et étonnante.
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