"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
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La poésie est intemporelle ce recueil le démontre en papillonnant à l’aide de courts textes sur la vie, la mort, le monde et les gens sans oublier la beauté.
« Toute cette beauté qui nous dépasse !A droite, des peupliers. A l’œil placide, à gauche, des moutons pour l’éternité. »
Dans « état des cieux », on part à la découverte du ciel dans tous ses états. Qu’il soit gris ou bien « bleu et froid comme un galet trop longtemps poli, » il est immense et porteur d’espérance.
La nature est très présente, ce sont les liserons et les noisetiers et puis « les prés, champs, épis de blé, petites lumières du vallon » dont se nourrit le poète qui nous dit que « les feuilles ont l’air d’oiseaux (et les oiseaux de feuilles) ».
Le quotidien s’infiltre entre les lignes, comme le bruit des balles de tennis. Ou bien ces trains qui « caressent les collines comme de longues couleuvres. »
Le poète consacre quelques pages aux femmes, celle qu’on contemple sur une plage, qu’on croise devant une église et celle qui emplit sa vie, la femme aimée qui emplit la maison et vie
« J’entends tes pas dans la pièce à côté. Au-dessus de tes pas, il y a tes jambes, tes seins, ton rire. »
Le recueil se termine sur une note d’espoir :
« Mais qu’apparaisse un instant une épingle de lumière et je continuerai à marcher, le visage levé vers l’espérance. »
Une poésie du quotidien qu’on prend plaisir à lire.
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