"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
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Après quelques lectures difficiles, j'ai eu besoin d'un peu de légèreté, et, pour cela, rien de tel qu'un roman de Jeffrey Archer (même si dans ce cas là, ça a peut être été un peu trop léger !).
Dans ce nouveau roman, plus ou moins spin-off de la série 'Les chroniques de Clifton', comme on dirait dans le monde des séries, on retrouve William Warwick et sa famille.
Contre l'avis de son père, avocat et pair du Royaume, William a toujours eu envie de devenir policier. Ses parents ont exigé qu'il suive un cursus universitaire et c'est doté d'un diplôme d'histoire de l'art qu'il accomplit son rêve.
Ne souhaitant aucun des raccourcis que ce diplôme pourrait lui accorder, il démarre par deux ans en tenue à arpenter les rues de son quartier en compagnie d'un policeman aguerri qui lui enseignera les bases du métier.
Promu à la brigade des 'Biens culturels' de Scotland Yard il aura l'opportunité de restituer le savoir acquis en fac.
Un policier bon enfant des personnages bien campé et parfois amusants, quelques grosses ficelles pour ce roman délassant et idéal pour l'été ... mais il faut bien l'avouer, pas un des meilleurs romans de l'auteur.
J'ai la suite des aventures de William Warwick dans ma liseuse ... mais je vais attendre avant de m'y plonger :)
En 1979, William Warwick décide de ne pas suivre la voie professionnelle de son père et devenir avocat. Il entreprend des études d’histoire de l’art et passe le concours de la police. Après deux ans a patrouiller dans les rues de Londres, il intègre Scotland Yard à l’office de lutte contre le trafic des biens culturels. Parmi les dossiers qu’il doit traiter se trouve celui du vol d’un tableau de Rembrandt, Le Syndic de la guilde des drapiers, volé sept ans plus tôt au musée Fitzmolean. Il sera aidé par Beth Rainsford du musée. Je ne connaissais pas l’auteur et encore moins la saga des Clifton dont le personnage principal de ce roman est une émanation. Ce premier roman dépeint le début de carrière de William Warwick. Les suivants décriront son ascension à Scotland Yard. C’est une belle immersion dans le monde de l’art, des trafics et des faussaires au début des années 1980. Ce premier tome recèle pour moi tous les bons ingrédients du roman d’enquête autour d’un héros policier, vivement de découvrir la suite.
#netgalleyfrance #quinetenterien
Un premier tome pour une nouvelle série policière, nous allons rencontrer l’agent William Warwick à ses débuts comme enquêteur. On assiste à la naissance d’un personnage digne de Sherlock Holmes. Depuis l’enfance, il poursuit le rêve d’entrer dans la London Metropolitan Police Force. Alors que son père Sir Julian Warwick, l’aurait bien vu à ses côtés comme avocat, tout comme sa sœur Grace. Dès son diplôme en poche, il va effectuer sa formation en duo avec le gendarme Fred Yates. Puis ce sera une première véritable affaire pour le département de l’Art de Scotland Yard. Il fait la connaissance de Beth Rainsford lors de son enquête sur le vol d’un Rembrandt au Fitzmolean Museum où la jeune femme est assistante de recherche. Les sentiments s’en mêlent alors que Beth n’a pas tout dit à son sujet. Beaucoup de rebondissements dans cette nouvelle série où l’on fait connaissance de toute la famille Warwick, les avocats père et fille, le fils détective qui luttera contre les criminels de tout bord. Les amateurs d’art seront ravis de suivre l’enquête, on parlera des artistes célèbres mais aussi des faussaires de talents cat il s’agit aussi de fraude de haut vol. Pas de grande montée en tension mais un petit côté romantique qui avait bien du charme. L’auteur nous dit en préambule : « Ceci n’est pas un roman policier, c’est l’histoire d’un policier ». Personnellement je suis restée un peu sur ma faim et j’aurai voulu en apprendre plus encore sur Warwick mais s’il doit y avoir une suite, j’aurai alors tout le temps de mieux le découvrir. J’ai aimé la fraîcheur du personnage et sa jeunesse et sa fougue. Même si ses valeurs morales sont mises à rude épreuve. L’auteur possède indéniablement un grand talent de conteur, il a su me captiver. J’ai failli me perdre dans le labyrinthe du temps dans ce roman qui aurait tout aussi bien pu se dérouler à l’époque victorienne tant le style et la plume de l’auteur avaient un charme désuet que j’ai apprécié. Je serai la première à lire la suite des aventures de ce personnage dors et déjà emblématique. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2020/08/02/38427157.html
C’est curieux de constater qu’en exergue, l’auteur tient à préciser que Qui ne tente rien n’a rien n’est pas un roman policier, mais l’histoire d’un policier. Certes on comprend par la préface qu’il s’agit du début d’une nouvelle série qui vise à développer l’un des personnages de la saga des Clifton, mais quand même, qu’est ce qu’un polar, sinon la plupart du temps l’histoire ‘un policer, assortie de celles des bandits qu’il traque.
Warwick a donc décidé, contre l’avis paternel, qui avait des ambitions plus élevées pour le fils de la famille, de faire carrière dans la police. Reçu haut la main à l’épreuve finale, il a par un concours de circonstances l’occasion de faire preuve de son érudition en matière d’art pictural lors de son entretien à Scotland Yard, ce qui lui vaudra de sauter des étapes intermédiaires pour se retrouver directement au saint des saints !
S’ensuit une enquête concernant le vol et le trafic de faux de toiles célèbres que William va tenter d’élucider. Même si on se doute de l’issue, l’attention est maintenue grâce au secret que cache la jeune femme, conservatrice d’un musée et dont William s’est épris.
Très agréable récit, bien ficelé avec un héros sympathique et intelligent autour duquel gravitent de non moins interessants personnages secondaires. l'histoire est racontée essentiellement à travers des dialogues, ce qui rend le récit vivant.
Jeffrey Archer démontre qu’il est tout aussi talentueux dans le polar, malgré ses allégations, que dans la littérature blanche, et on retrouvera avec plaisir William pour la suite de ses aventures.
#Quinetenterien #NetGalleyFrance
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