"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" on ne peut pas s'imaginer comme ça va vite de foutre en l'air la vie de quelqu'un avant qu'on l'ait fait soi-même.
deux minutes... peut-être trois... c'est tout ce que ça a demandé ? après c'était fait. " dix-sept ans de silence et celle qui fut complice parle. au départ, ça ne devait être qu'un jeu : faire croire à cette idiote de suzy petterson qu'un garçon de la classe était amoureux d'elle. personne ne pensait qu'elle marcherait dans l'histoire à ce point, mais pour se sentir aimée, suzy était prête à tout.
Né en 1965, Malin Lindroth vit en Suède. Elle est écrivain, auteur dramaturge et journaliste culturelle.
Résumé : Un groupe de garçons décide de faire croire à Suzy Petterson, une fille très naïve du lycée que Johnny, un beau gosse, est amoureuse d'elle. Suzy y croit dur comme fer... jusqu'au drame. 17 ans plus tard, la petite amie de Johnny qui fut complice raconte cette histoire.
J'ai découvert par hasard ce petit livre dans un rayon de la bibliothèque de ma ville. Eh bien, je dois avouer que c'est une bonne surprise. Ce texte court (60 pages) se lit d'une traite.
Une fois commencé, on a qu'une seule envie, savoir comment se termine ce drame. L'histoire est simple et la conclusion invite le lecteur à réfléchir aux conséquences d'une plaisanterie qui peut mal tournée.
La littérature pour ados regorge de bons livres et "Quand les trains passent..." en fait partie.
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