80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
N'était la gravité du problème, on pourrait s'amuser du discours des hommes politiques qui semble, telle une superproduction hollywoodienne, annoncer «Plein emploi, le retour». Or rien de tel ne peut plus advenir.Le plein emploi appartient au passé, celui de l'expansion des années soixante. Depuis lors, le grand ébranlement des crises économiques a effacé les frontières hier encore strictement délimitées entre emploi, chômage et inactivité. Désormais, l'emploi ne peut plus être défini par un revenu lié au travail, un statut social et un engagement permanent dans la production classique de biens et de services. Sommes-nous implicitement passés de l'objectif d'antan de plein emploi à celui de «pleine activité», avec toute l'ambiguïté que comporte ce terme si l'on en croit les différentes acceptions qu'il reçoit aujourd'hui ? Comment définir la nouvelle notion d'activité, élargissant celle de l'emploi typique traditionnel, pour garantir à chacun ressources, implication dans des activités socialement utiles et surtout statut reconnu et valorisé ?
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