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Le commissaire Fabien Parra aime les femmes, l'opéra, les motos et la gastronomie. Il satisfait sa première passion avec Bella Vargas, une chirurgienne douée, la seconde avec son ami d'enfance Del Chiappo, journaliste féru de bel canto, et les deux autres avec ses nombreux copains. Jusqu'au jour où une série de meurtres frappe de plein fouet les coulisses feutrées de l'Opéra de Nice.
Les suspects ne manquent pas : entre mafia et affaires de moeurs, tapineuses de la Promenade des Anglais ou membres du personnel de l'Opéra. Peu à peu, les meurtres augmentent en sauvagerie, s'exportent jusqu'à Vérone. Des poupées sont déposées auprès de chaque victime. Quel qu'il soit, l'assassin poursuit un but que nul ne devine. Unissant ses efforts à ceux d'un policier italien, Parra tente de comprendre la motivation du tueur. En vain.
Pas mal du tout ce roman policier. D'abord pour le milieu qu'il décrit, pas très courant dans ce genre de littérature. Ensuite pour les personnages campés qui sont attachants. Alors, certes, les héros ont tendance à être tous très beaux, tous très intelligents, une sorte d'élite culturelle-physique-musicale, mais je n'ai pas boudé mon plaisir à voyager en leur compagnie à Nice. Yaël König offre une belle visite de l'opéra de cette ville, nous guide dans tous ses recoins et nous promène dans cette vile, que personnellement, je ne connais pas du tout. C'est bien, ça change des visites de Paris, et en plus, "il y a le ciel, le soleil et la mer..."
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