En partenariat avec les éditions Robert Laffont, tentez de gagner l'un des exemplaires de Phobos tome 1 !
Six prétendantes.
Six prétendants.
Six minutes pour se rencontrer.
L'éternité pour s'aimer.
Ils veulent marquer l'histoire avec un grand H.
Ils sont six filles et six garçons, dans les deux compartiments séparés d'un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduire et se choisir, sous l'oeil des caméras embarquées. Ils sont les prétendants du programme Genesis, l'émission de speed-dating la plus folle de l'Histoire, destinée à créer la première colonie humaine sur Mars.
Elle veut trouver l'amour avec un grand A.
Léonor, orpheline de dix-huit ans, est l'une des six élues. Elle a signé pour la gloire. Elle a signé pour l'amour. Elle a signé pour un aller sans retour...
Même si le rêve tourne au cauchemar, il est trop tard pour le regretter.
Le premier tome de la nouvelle série de Victor Dixen, double lauréat du Grand Prix de l'Imaginaire.
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Les 20 romans plébiscités par nos lecteurs en 2015
Six filles et six garçons ont été sélectionnés pour une aventure unique et sans retour sur la planète Mars. À l'issue d'un speed-dating, ils devront choisir l'élu de leur cœur et tout tenter pour devenir les pionniers d'une future humanité...
Victor Dixen nous projette dans une excursion sur Mars aussi haletante, qu'intrigante. C'est un récit périlleux où les découvertes se succèdent.
On tombe rapidement sous le charme de la narratrice Léonor, qui se démarque de ses camarades. On apprécie son sens critique, son caractère franc. Avec elle, on ne se laisse pas étourdir par les paillettes ou les longs discours. On fait brièvement connaissance avec les différents prétendants qui jouent à fond le jeu de la séduction.
L'univers créé est moderne et ultra réaliste. L'intrigue est multiple, complexe. On parle de média, de complot politique, de manipulation, de compétition. Ce qui se passe à l'intérieur du vaisseau retient notre attention.
"Un voyage inouï les attend, le plus grandiose de toute l'histoire de l'Humanité. Ils iront plus loin que Youri Gargarine, plus loin que Neil armstrong, plus loin qu'aucun être humain n'est jamais allé."
La plume de l'auteur est addictive. La promiscuité des personnages dessine les affinités, crée des tensions. Les secrets dévoilent des fragilités, des points communs. On se focalise ici beaucoup sur le point de vue de Léonor et on découvre par petites touches les caractéristiques de son entourage.
Ça défile très vite, il y a de l'adrénaline, du mystère, de l'embrouille, de la passion. Le rythme est assez soutenu, on assiste à un joli triangle amoureux qui donne du piquant au récit.
Ce roman est un véritable page-turner et la fin ne ménage pas nos nerfs. On a juste envie d'enchaîner sur le prochain tome.
J'ai eu du mal à me décider à faire courir mes doigts sur le clavier pour rédiger mon avis sur la saga extraordinaire, intergalactique dans tous les sens du terme, qu'est Phobos. Je me suis résolument dit que chaque tome méritait sa petite chronique, car ils ont tous eu, à un degré plus ou moindre, l'effet d'une bombe atomique sur moi. En attendant patiemment (non sans piaffer d'impatience, humhum) que la quatrième soit lâchée par le formidable Victor Dixen, que j'ai eu la merveilleuse opportunité de rencontrer à un stand des Imaginales (vive mes Vosges, l'émotion est encore palpable), je vous laisse tranquillement prendre place à bord du Cupido. En route, chers pionniers de Mars ! Accompagnons donc nos douze adolescents de tous horizons au sein de leur habitacle, dans leur quête de gloire, d'indépendance, de liberté,_d'amour et de bonheur. Ou alors, pauvres Terriens que nous sommes, regardons la chaîne Genesis sur notre petit écran en trépignant de découvrir ce qui va arriver au niveau sentimental et communautaire à notre candidat.
En effet, Victor Dixen va nous embrigader dans le plus inimaginable des speed dating. Nos jeunes filles et garçons vont se voir s'envoler vers les étoiles pour réaliser un enjeu humanitaire et évolutif colossal, reposant ainsi sur leurs frêles épaules et leur destinée à survivre sur une planète jusqu'alors inhabitée et pensée inhabitable. Ce projet hors normes représente l'ambition démesurée de notre espèce à viser une expansion sur une autre planète, ainsi que notre foi en l'Humanité et en sa force. Et comme une bleue, je me suis laissée bernée par la plume convaincante de l'auteur, qui a su me mener par le bout du nez dans tout ce que je déteste : la télé-réalité, la surexposition, le voyeurisme, l'incision des médias dans la vie privée, la manipulation de l'opinion publique, les stratégies politiques pour nous faire gentiment avaler des couleuvres, la déformation des propos et des images entre autres... Je pensais pouvoir résister à ce magnétisme abrutissant mais dans ce tome un, on ne peut qu'échouer lamentablement. A l'image du jeune Andrew, j'étais tellement emballée par ce projet faramineux.
Qu'il est tant sur le plan humain, économique, et (surtout pour lui) scientifique, que j'aurais presque voulu être à bord du Cupido pour prendre part à ce grand moment de l'Histoire. Et à l'instar de la serveuse Cindy, je me suis retrouvée à m'attacher fortement à ces douze personnages emblématiques, ayant chacun un passé trouble, sombre, leurs cicatrices physiques, dans leur cœur, dans la leurs tatouages... Et ils ont tous une personnalité distincte et appuyée qui leur ont permis de se frayer un chemin dans mon cœur et de ne pas les faire disparaître dans l'ombre de notre géante rouge, j'ai nommé Léonor.
Cocorico, il s'agit bien de notre représentante française, qui a l'honneur d'avoir son propre point de vue exprimé en alternance avec un point de vue omniscient pour pouvoir mieux plonger dans les pensées de nos personnages du Cupido ou de ceux restés sur Terre, téléspectateurs bernés ou équipe directrice de la chaîne Genesis, des criminels involontaires menés à la baguette de la honte par l'odieuse Serena McBee. Je vous reparlerai dans mes deux autres chronique de cette affreuse bonne femme car franchement, ce n'est que le début du cauchemar dystopique... Revenons plutôt à Léonor. Une jeune fille blessée par l'existence, qui cache sa salamandre honteuse dans son dos comme une marque au fer rouge de son existence misérable. Sans famille, sans origines. L'histoire d'une personne à la dignité bafouée dans des boîtes de pâtée pour chiens.
Et qui en est réduite à être la "machine à certitude" de la bande, celle qui ne doit jamais flancher. Alors que Léonor, c'est tout le contraire : elle est une artiste écorchée vive, un talent brut, primitif,-enflammé, à l'instar de ses cheveux flottants dans l'apesanteur digne d'une Mérida et d'une Ariel réunies (jamais j'avais vu de cheveux aussi beaux), ou encore de l'incendie qui a consumé trop tôt ses espoirs. Elle a su faire vibrer chaque fibre de mon être et me fasciner, même si je l'ai parfois trouvé agaçante à osciller entre l'américain Marcus et le brésilien Mozart (ah, les hormones et les triangles amoureux *soupir*). D'ailleurs, réflexion faite après ma lecture des 3 tomes de cette tétralogie sensass', je me garde le séduisant et repentant Mozart pour moi. J'adorerais prendre des cours de salsa avec lui, héhé ! Plus sérieusement, au bout du compte, ce triangle amoureux très intense et particulier ne m'a pas gêné.
Contrairement à mon habitude, vous le savez bien maintenant. Tout simplement car Léonor les porte tous les deux dans son cœur à tout jamais, on sent que c'est authentique et brûlant (le champ lexical du feu va y passer...). Je n'y ai pas senti de niaiserie inutile, même si Léonor va avoir un moment le cœur faible qui vacille, ses sentiments ardents vont ne la rendre que plus humaine, majestueuse et rayonnante. Mozart va lui apporter douceur et gaieté, quant à Marcus, c'est tout le contraire, il va la déstabiliser, l'ébranler au plus profond de son être, la faire chavirer et l'avoir dans la peau.-J'ai adoré sa philosophie de vie, c'est un être irradiant de mille feux au profit de son astre, la véritable géante rousse. Il est loin du stéréotype du brun ténébreux comme on pourrait le penser de prime abord. J'ai hâte de pouvoir plus vous parler des autres pionniers tout aussi singuliers lors de ma chronique du tome 2 qui va nous voir s'installer au sein des nids d'amour de Mars. Vous pourrez faire plus connaissance avec eux, c'est promis. En attendant ce face-à-face mémorable, je ne peux que vous engager à lire cette saga qui transpire l'humanité, qui en dénonce ses clichés et ses torts.
Et puis je ne peux que prôner la plume terriblement addictive de Victor Dixen jusqu'au firmament. COUP DE FOUDRE ϟ
J'ai adoré cette saga. Le tome 1 ma tous de suite donne envie de lire les autres. On ne tombe pas dans les clichés de la téléréalité il y a un vrai message derrière sur une société manipulée par l'image qu'on veux monter et non la réalité.
Chaque personnage est unique qu'on les aimes ou pas on si attache forcément.
On rie on pleur et surtout on est marqué par leur histoire leur courage et leur amitié.
L’idée de ce space-opera médiatico-scientifique est juste excellente ! Qu’une entreprise privée, ayant rachetée la Nasa, prenne l’initiative de monter un tel barnum est malheureusement tellement crédible, même si on y a encore échappé… Et que des intérêts financiers prennent le pas sur la science est malheureusement tout aussi crédible…
Chacun des 12 jeunes gens embarqués dans cette aventure dissimule un secret, plus ou moins lourd à porter, que l’on va découvrir au fur et à mesure de la progression de l’histoire, et, en particulier, à l’occasion des séances au Parloir. En effet, comme dans l’Île de la Tentation, garçons et filles sont séparés, et ne peuvent se découvrir que lors de speed-dating de 6 minutes seulement, organisés au rythme de un par jour. Naturellement, on l’imagine, c’est à l’heure de la plus grande écoute que se déroule ce temps fort de la journée !
Le seul petit bémol pour ce roman « young adult », c’est, justement, que c’est un roman young adult ! En effet, les sentiments et les intrigues semblent parfois un peu édulcorées. Comparées à un Koh Lanta, les relations humaines dans les deux groupes (on est avant la Réunification, qui n’aura lieu que sur Mars !) semblent très simples et apaisées. On aimerait que ces huis-clos soient un petit peu plus tendus ! De la même façon, on semble croire (dans ce premier tome, en tout cas) que l’amour est forcément au rendez-vous. Ici, on pourrait voir un parallèle avec un site de rencontre, où chacun fantasme l’autre, sans se confronter réellement à la réalité.
De la même façon, les histoires et les intrigues qui se déroulent en parallèle sur Terre paraissent aussi un peu simples dans ce premier tome. Même si l’objectif n’était pas d’écrire un thriller, elles auraient pu être amenées avec un petit peu plus de suspense.
Au moment d’écrire cet avis, je viens seulement de commencer le deuxième tome, je n’ai donc pas encore de visibilité sur la suite. Mais j’ai vraiment hâte de savoir comment va se dérouler l’arrivée sur Mars… Autant dire que ce premier opus est très efficace : il atteint parfaitement son but, on n’a pas envie d’abandonner Léonor, Marcus et Mozart…
Abandonné au bout de 30 pages.
✨ Hello la Compagnie! ✨
[Avis lecture - rapide] •
Et bien voilà!
Je me suis faite inexorablement aspirer dans l'univers de @victordixen ... •
C'était pourtant couru d'avance avec tout ce que j'avais lu sur #phobos édité chez @collectionr !! •
Aspirée comme dans un trou noir dès les première lignes.
Sans prise pour me rattraper ni même de force pour tout arrêter.
J'étais un membre de l'équipage, un membre invisible, un membre inactif, mais un membre bien présent! •
La plume de Victor est #addictive et sans fioritures! [Quoi on utilise encore ce mot?! Hey vous moquez pas! Un mot n'est jamais trop vieux pour être utilisé!!
https://livresque78.wordpress.com/2018/08/29/phobos-tome-1/
Retour à l'une de mes passions livresque, la dystopie et le Young adult, je n'y peux rien, j'adore ça. Phobos était dans ma liseuse depuis un moment, j'ai donc profité des vacances, de la plage et du camping pour m'y mettre et commencer le tome 1 et cela avec le plus grand des plaisirs.
Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com
Lorsque la chance me sourit…
Phobos, c’est une saga qui a fait le tour de la blogosphère pour y récolter de multiples avis positifs. Malgré cela, je suis passée à côté de ce phénomène. Pour quelle raison ? En vérité, même s’il m’intriguait, le synopsis semblait assez éloigné de ce que je lis habituellement.
Mais il faut croire que cette série était faite pour moi, puisque j’ai remporté le premier tome grâce à un concours organisé par le blog Les chroniques de Milleca – que je remercie à nouveau. Sans cela, je n’aurais pas eu l’occasion de me plonger dans cette lecture presque coup de cœur !
Du young adult, malgré tout
Vous l’aurez compris, quand j’ai débuté ce livre, j’étais encore sceptique. L’idée de base – coloniser Mars ! – était certes originale, mais pouvait-elle réellement donner lieu à une histoire intéressante et loin des romances pour ados, comme on en voit tant sur le marché ? Je vous l’avoue, c’était ma plus grande crainte !
Eh bien, en fin de compte, Victor Dixen a réussi son pari. Car Phobos, ce n’est pas seulement une émission de télé-réalité qui retransmet des speed-dating depuis l’espace, mais un complot orchestré par des gens peu scrupuleux et prêts à tout pour s’enrichir.
Là où on sent le côté young adult, c’est dans la manière dont cette information est transmise au lecteur. Vous en connaissez beaucoup, vous, des « méchants » qui réexpliquent toute l’ingéniosité d’un complot à ceux-là mêmes qui l’ont fomenté ? Bref, j’aurais préféré que l’auteur amène ce point de l’histoire de façon plus subtile, par petits indices par exemple.
Quant aux relations qui se sont nouées entre les prétendants, elles ont fini par rentrer dans des cases, comme si on avait idéalisé leurs espoirs. A croire que l’amour serait forcément au rendez-vous. Mais… pourquoi pas après tout ? Ils sont jeunes et peuvent se permettre de rêver !
Un rythme géré de main de maître
Plutôt que de s’intéresser uniquement à ce qui se passe dans l’espace, Victor Dixen revient régulièrement sur terre, ce qui évite une certaine lassitude vis-à-vis des nombreux speed-dating. On voit ainsi émerger divers personnages qui ont un rôle à jouer, les uns effrayants, les autres intrigants tels qu’Andrew ou encore Harmony.
Petit bonus : des illustrations se glissent parfois entre les pages afin de schématiser des concepts techniques, comme le chemin parcouru par les navettes spatiales ou l’agencement de ces dernières.
Une liste de personnages assez importante
Cela était inévitable avec 12 prétendant(e)s participant au programme Genesis. Mais si j’ai eu un peu de mal à m’y retrouver au début, le point de vue de Léonor m’a aidée à y voir plus clair et à mettre une personnalité sur chaque nom. Même si celle-ci est, pour certains, à peine esquissée, chacun est différent, marqué à sa manière par des évènements tragiques suite à la volonté des organisateurs de ne choisir que des personnes sans attaches et sans regrets.
Malheureusement, Serena McBee est un brin stéréotypée. Sûre d’elle, convaincue de ne jamais commettre d’erreurs malgré l’énormité de ses actes, elle est la méchante de l’histoire avec un grand M. Là aussi, on ressent l’influence young adult.
Pire encore, qu’il s’agisse ou non des prétendant(e)s, tout le monde semble doué pour les grands discours, ce qui m’a paru… un peu énorme. Phobos a donc ce côté théâtral, comme si chacun de ses personnages savait toujours quoi dire au bon moment. Mais soyons clairs : cela fonctionne à merveille, Victor Dixen possédant une plume à la fois fine et efficace. Et que de belles paroles j’ai eu l’occasion de lire dans cet ouvrage. Sincèrement, bravo !
Néanmoins, pour ceux qui ne seraient pas amateurs des mots d’amour, je vous conseille de passer votre chemin.
Un véritable cliffhanger en guise de final
Moi qui m’attendais à une lecture moyenne, j’ai fini par me laisser prendre au jeu des speed-dating. Sans m’en apercevoir, je me suis prise d’affection pour Léonor et les autres prétendantes et ai vécu leurs espoirs, leurs émois et leurs déceptions, à un point tel que j’ai dévoré la deuxième partie du livre en une soirée.
Il faut dire que sur la fin tout s’accélère brutalement et, même si j’avais deviné bien des choses et que certaines sont un tantinet tirées par les cheveux, j’ai été soufflée par le dénouement. Désormais, je n’ai plus qu’une question en tête : que va-t-il se passer ?
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