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Perdre sans se perdre

Couverture du livre « Perdre sans se perdre » de Suzanne Bernard aux éditions Dauphin Blanc
Résumé:

Nous subissons tous des pertes importantes au cours de notre vie, qu'elles soient affectives (le décès d'un être cher, le divorce des parents, la mort d'un animal préféré, la perte d'un emploi, la fin d'un rêve) ou matérielles (la disparition d'une maison à la suite d'un incendie, le vol d'un... Voir plus

Nous subissons tous des pertes importantes au cours de notre vie, qu'elles soient affectives (le décès d'un être cher, le divorce des parents, la mort d'un animal préféré, la perte d'un emploi, la fin d'un rêve) ou matérielles (la disparition d'une maison à la suite d'un incendie, le vol d'un bien ou la perte d'un environnement à la suite d'un déménagement).
Face à l'incontournable souffrance engendrée par ces pertes, plusieurs directions s'offrent à nous. Nous pouvons choisir de nous enliser dans la douleur qu'elles occasionnent, opter de l'anesthésier par tous les moyens que la société met à notre disposition ou, tout au contraire, nous engager dans la traversée du deuil pour le terminer. Nous ne choisissons pas les épreuves qui se présentent à nous, mais nous avons le pouvoir de décider quoi faire de notre vie, et pour exercer cette liberté, pour vivre libre, il faut s'affranchir de l'ignorance.
Appuyées par l'expérience clinique et thérapeutique de Suzanne Bernard, les auteures dénoncent les fausses croyances que nous entretenons au sujet du deuil et des pertes. Elles proposent une démarche d'éducation au deuil reposant sur une synthèse des principales connaissances reconnues et expérimentées par les experts en la matière. Cette démarche, qui propose des attitudes à développer face à soi-même et aux autres, est présentée dans la perspective qu'un deuil a une fin.
Car tous les espoirs sont permis : l'éducation au deuil nous apprend qu'il est possible de perdre sans se perdre. Terminer un deuil, quel qu'en soit l'objet, c'est hériter d'une partie de soi-même, c'est s'appartenir. C'est vivre sa vie.

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