80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
«Il n'y a pas eu de morts l'été 2001 à la caserne de Monte Ceneri. Il n'y a eu que des survivants.» L'auteur de ce récit est l'un d'eux.
Recruté comme tant d'autres pour accomplir son service militaire, il nous raconte sans fioriture la lente aliénation qui, insidieusement, dépossède un homme de son humanité.
Témoignage troublant, parfois drôle, souvent tragique, sur la banalisation d'une souffrance perçue comme un simple bizutage. Avec ce livre, bien au-delà du cadre militaire de son émergence, l'auteur nous invite à une réflexion sur les formes masquées de la violence.
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