"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Tu me diras Célia... ;)
Ah ah ah Sophie et Clemady ! ;))
New York. Mitchell Zukor, un jeune mathématicien surdoué, est engagé par FutureWorld, un mystérieux cabinet de conseil financier. Son travail : calculer les pires scénarios possibles. Ses systèmes sont vendus aux sociétés clientes afin de les indemniser contre toutes catastrophes futures. Les affaires sont florissantes. Immergé dans ses prospectives, Zukor finit par perdre son dernier lien avec la réalité : Elsa Bruner, une amie qui a elle aussi son propre secret. Et, lorsque l'une de ses projections touche Manhattan, il devient le seul individu à pouvoir en profiter. Mais à quel prix ?
Une fable grinçante et apocalyptique sur fond d'Amérique parano. Emily Barnett, Les Inrockuptibles.
Nathaniel Rich impressionne. Si ce livre est une authentique cli-fi [climate fictions], il s'agit aussi d'un beau roman d'amour. Raphaëlle Leyris, Le Monde des livres.
Chronique définitive "Paris sur l'avenir"
« Paris sur l’avenir »…. Difficile de résumé l’histoire de ce roman, tant j’ai l’impression d’être passé à côté, et de ne pas avoir tout compris.
Mitchell Zukor, fils d’un émigré Hongrois marchand de sommeil, est un génie des mathématiques. Pendant son cursus universitaire, il se passe deux choses : la rencontre avec Elsa, atteinte du syndrome de Brugada et un tremblement de terre à Seattle. Ce tremblement de terre va secouer toute une génération, comme le fut pour nous les attaques du World Trade Center.
A la fin de ses études, Mitchell se fait embaucher dans une société logée dans l’Empire State Building où il est payé à évaluer la vie des employés en Dollars, jusqu’au jour où il est contacté par Future World. Cette société-là, va lui proposer d’élaborer des scénarios catastrophes afin que les grandes sociétés prennent la peine de bien s’assurer en cas d’attaques d’autres pays, de tremblement de terre, ….
C’est assez long à se mettre en place, les personnages n’ont pas de charisme et j’ai très peu accroché sur le personnage principal qu’est Mitchell (hypochondriaque, paranoïaque, génie des maths). Il y a bien des infos intéressantes qui sont plutôt bonnes pour la culture générale, mais le plus souvent ce n’est que de la science, des maths, de la géopolitique,… des choses que je n’ai pas envie de lire (sauf en cas d’insomnie, ce qui se révèle être aussi efficace qu’un somnifère !).
De plus ces prédictions sont assez effrayantes. Il y a une certaine véracité dans ses propos, ce qui rend ce roman angoissant. Et en ce moment, j’ai envie de lire des choses plus légère, plus joyeuse, où j’ignore les probabilités de développer un cancer dans ma vie future !!!
Ce roman est affilié en tant que fiction, mais personnellement, je l’aurais plus vu en science-fiction. Et j’ai toujours eu un peu de mal avec cette catégorie littéraire que je trouve très masculine (souvent des héros, qui partent à la conquête de Mars, avec des extraterrestres,… Faut dire que l’âge d’or était quand même les années 50, et que je n’ai pas lu de science-fiction récente).
Bref, c’est brouillon, soporifique et surtout…..flippant.
Chronique de la page 100:
Pour mon dernier livre j'ai été gatée... moi qui suis fermée à toutes forme de science, pour moi où mathématique est synonyme d'enfer, bah là j'ai été servi!! C'est long à se mettre en place, on ne sait pas qui est le narrateur dans l'espèce d'introduction... c'est un peu brouillon, quoi!
* Chronique #ExploLecteurs
« Paris sur l'avenir » et pari réussi !
Le roman se découpe en trois parties bien distinctes. Dans la première, l’auteur explique le parcours de Mitchell Zukor, qui est paranoïaque ; il a peur de tout, peur qu'une guerre éclate, peur qu'une catastrophe naturelle arrive à tout moment, peur des virus, des fuites de gaz, des contaminations, etc ... Il est également très doué en mathématiques et calcule les probabilités que telle catastrophe ou tel désastre arrivent, grâce à des équations et des calculs complexes. Son talent va lui permettre d'être embauché en tant que consultant financier dans une entreprise New Yorkaise. Il va échafauder des scénarios désastreux, imaginer ce que le futur réserve de pire et vendre de la peur, une culture du risque, aux sociétés afin d'en tirer profit. « FutureWorld » offre un service, une garantie contre les catastrophes, que les assurances, elles, n'offrent pas. La seconde partie montre l'évolution de Mitchell au sein de l'entreprise « FutureWorld » ainsi que sa rencontre avec Jane, une nouvelle collègue. Jusqu'au jour où l'un de ses scénarii touche Manhattan … Mitchell devient un prophète célèbre que toutes les émissions de télévision veulent inviter ! La dernière partie dévoile comment cet homme va devenir fou & vivre en ermite, tandis que Jane, devenue une "amie", profite des prédictions de Mitchell pour ouvrir une société nommée « Lendemains », censée protéger contre les catastrophes futures ...
C'est une belle découverte, même si on reste un peu sur sa faim (fin) ! J'ai eu un peu de mal à comprendre et à me glisser dans le début de l'histoire, le sujet du roman sort de l'ordinaire et de ce que j'ai l'habitude de lire (je suis une littéraire, pas une scientifique !). La narration est un peu longue, il faut s’accrocher, mais l’idée du roman et de son histoire est originale.
* Avis de la page 100 #ExploLecteurs
Avant de commencer la partie 2 du livre de Nathaniel Rich, "Paris sur l'avenir", je m'arrête afin d'écrire le rendez-vous de la page 100.
Mitchell Zukor est paranoïaque ; il a peur de tout, peur qu'une guerre éclate, peur qu'une catastrophe naturelle arrive à tout moment, peur des virus, des fuites de gaz, des contaminations, etc ... Il est également très doué en mathématiques & calcule les probabilités que telle catastrophe ou tel désastre arrivent, grâce à des équations & des calculs complexes. Son talent va lui permettre d'être embauché en tant que consultant financier dans une entreprise New Yorkaise. Il va échafauder des scénarios désastreux, imaginer ce que le futur réserve de pire & vendre de la peur, une culture du risque, aux sociétés afin d'en tirer profit. FutureWorld offre un service, une garantie contre les catastrophes, que les assurances, elles, n'offrent pas.
Son seul contact avec le présent est une correspondance avec Elsa Bruner, une "amie" qui n'a peur de rien & qui est atteinte d'une maladie rare (elle peut mourir d'un arrêt cardiaque à chaque instant) ...
J'ai un avis un peu mitigé sur le livre. J'ai eu un peu de mal à comprendre & à me glisser dans le début de l'histoire, le sujet du roman sort de l'ordinaire & de ce que j'ai l'habitude de lire (je suis une littéraire, pas une scientifique !). C'est bien écrit, intéressant & au final, je me suis attachée à Mitchell & j'ai envie de savoir la suite des événements ...
Mitchell Zukor est un jeune mathématicien surdoué. Alors qu'il travaille pour une grande firme à analyser des chiffres, il est approché par un représentant d'une entreprise futuriste et mystérieuse, qui lui demande de calculer les pires scénarios possibles, afin de les vendre à des sociétés clientes pour les indemniser contre toutes catastrophes futures. En parallèle, il correspond avec une jeune femme, Elsa Brunet, atteinte d' un syndrome qui peut la faire mourir subitement à tout moment. Rapidement, Zukor fait ses preuves au sein de sa nouvelle entreprise, jusqu'à imaginer dans le moindre détail, une catastrophe qui touchera Manhattan. Pendant qu'Elsa disparaît mystérieusement. Avec Jane, une collègue ambitieuse, Mitchell va vivre dans un Manhattan apocalyptique et survivre grâce à ses prédictions.
Avant de débuter ce livre, l'histoire me tentait assez. La quatrième de couverture me promettait un thriller et une histoire d'amour. Tout ce que j'aime.
Mais je dois le dire, j'ai été très déçue...
A aucun moment, je n'ai accroché à l'histoire. Beaucoup trop de longueur à mon goût. Les personnages, qui au premier abord, peuvent sembler intéressant, entre la névrose paranoïaque de Mitchell, le syndrome d'Elsa et la l'ambition de Jane, m'ont paru fades et sans profondeur. Pas moyen de m'attacher à l'un d'eux.
Je suis, sans doute, passée complètement, au dessus de cette histoire, sans vraiment y comprendre quelque chose. Le sujet était pourtant intéressant. Dommage....
Je me suis ennuyée, tout en espérant jusqu'à la fin, un dénouement grandiose, qui aurait fait exploser toute l'histoire, mais en vain...
Grosse déception...
Le mot philosophique, après thriller, était sans doute de trop pour moi.
Ressenti à la 100ème page - Exploration de la rentrée littéraire 2015
J'ai poussé jusqu'à la page 111 pour finir la 1ère partie, en fait !
Mais pas que...je l'ai fait aussi en espérant... Comprendre.
Cette 1ère partie est un vrai mystère pour moi.
Un personnage principal paranoïaque névrosé, une amie atteinte d'un syndrome troublant, une succession de scénarios catastrophes, des statistiques, pourcentages et autres formules mathématiques et scientifiques, une mystérieuse entreprise... Mélangez tout cela et vous obtiendrez la 1ère partie !
Plus j'avance et plus un énorme point d'interrogation se dessine au dessus de ma tête.
À suivre.... Surtout que la 2nde partie à l'air de réserver des choses encore plus...bizarre, on va dire...
New York, dans un futur proche.
La vie de Mitchell Zukor mathématicien surdoué mais solitaire va basculer le jour de sa rencontre avec Charnoble, représentant de "FutureWorld", société futuriste dont le siège est un bureau vide de l'Empire State Building. Le poste que ce dernier lui propose va pouvoir révéler son génie concernant le calcul des pires scénarios possibles qui peuvent arriver et dont les prospectives sont vendues aux sociétés clientes afin de les indemniser contre toutes catastrophes futures.
Un jour, la pire de ses prophéties se révèle exacte...
La base de l'histoire est originale : c'est un mélange de réalité et de fiction qui aurait pu être intéressant mais cela traîne en longueur à mon goût (j'ai trouvé la partie "Le Futuriste" bien trop redondante) et aucun des personnages a réussi à me séduire (ni le héros Mitchell dont la dérive sera à la hauteur de son génie, ni Jane l'ambitieuse qui deviendra une amie au fil du temps et qui créera sa propre société protectrice en se servant de lui, ni la mystérieuse Elsa -son dernier contact avec la réalité- dont le coeur peut s'arrêter de battre à tout moment).
Je suis qualifiée de "littéraire" depuis mes plus tendres années, donc pas du tout une "scientifique" dans l'âme. Les probabilités, les statistiques, les algorithmes, les formules et autres formes du genre, même si cela flirte avec la philosophie du désastre, ne me font pas rêver du tout.
Est-ce la raison pour laquelle je me suis profondément ennuyée ?
Ce n'est malheureusement pas un premier roman que je défendrai...
"Le rendez-vous de la page 100"
#explolecteurs "Les explorateurs de la rentrée littéraire"
Statistiques, algorithmes, formules, calculs, probabilités sur la base de scénarios les plus terribles possibles...
Un premier roman qui, pour l'instant, non seulement ne me parle pas du tout mais encore m'ennuie profondément ! :'(
Je vais tenter de m'accrocher... A suivre...
Tu me diras Célia... ;)
Ah ah ah Sophie et Clemady ! ;))
oh punaise, il m'attend et ça ne me rassure pas du tout!!!
Ouh la ! ça fait peur !
Accroche-toi et bon courage !
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