Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Par ici la monnaie ! petite métaphysique du fric

Couverture du livre « Par ici la monnaie ! petite métaphysique du fric » de Paul Clavier aux éditions Cerf
  • Date de parution :
  • Editeur : Cerf
  • EAN : 9782204139670
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Hier, la monnaie et le crédit facilitaient l'échange. Aujourd'hui, ils divisent et écrasent. Le coupable désigné est vite trouvé : ce serait la finance internationale. Ce qui nous évite de nous interroger sur le tréfonds de nos mentalités. Un essai corrosif pour, enfin, régler nos comptes avec... Voir plus

Hier, la monnaie et le crédit facilitaient l'échange. Aujourd'hui, ils divisent et écrasent. Le coupable désigné est vite trouvé : ce serait la finance internationale. Ce qui nous évite de nous interroger sur le tréfonds de nos mentalités. Un essai corrosif pour, enfin, régler nos comptes avec l'argent.
La monnaie ? Inventée, croyait-on, pour faciliter l'échange des biens et des services, elle est devenue signe de division et facteur d'inégalité.
Le crédit ? Instauré pour faire circuler la monnaie et libérer l'initiative, il a fini par écraser États et particuliers sous le poids de la dette.
Le coupable tout trouvé, c'est " la finance " : marchés dérégulés, actionnaires sans coeur, fonds d'investissement indifférents au sort de la planète. Mais à quoi bon dénoncer la cupidité des uns et la rapacité des autres, si on n'en dévoile pas les ressorts ? La source de notre asservissement est peut-être cachée dans le tréfonds de nos mentalités. Et si le vilain petit financier, c'était chacune et chacun d'entre nous ?
Face à un krach boursier ou une pandémie, l'État est capable de s'endetter massivement. Ce qui repose la question de fond : qui, en définitive, doit quoi à qui ?
Enjambant les débats ésotériques, cette Petite métaphysique du fric interroge ce qu'est la monnaie dans nos têtes, ce qu'elle devient entre nos mains, et défie notre tendance à désigner les coupables sans nous remettre en cause.

Donner votre avis