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L'essor de l'art moderne dans Berlin au tout début du siècle pouvait d'autant moins laisser Ernst Cassirer indifférent que sa famille y prit une part active : Paul Cassirer expose dans sa galerie, dès 1904, Van Gogh, Cézanne, Munch, Matisse, et fut l'un des piliers de la Berliner Secession ; Bruno Cassirer était, quant à lui, l'un des plus grands éditeurs de livres d'art.
Comme il le confie dans l'une de ses lettres, le philosophe avait initialement prévu qu'un volume de La Philosophie des formes symboliques fût consacré à l'art. Il ne put jamais mener à bien ce projet. Toutefois, ses échanges avec Ernst Panofsky et Aby Warburg lui permirent de marquer la réflexion esthétique de ce siècle. La publication en un seul volume de l'ensemble de ses textes sur l'art, publiés ou inédits, ainsi qu'une liste des manuscrits concernant ce thème, permet de mieux saisir la conception cassirerienne de l'art comme forme symbolique.
Comme à son habitude, le philosophe déploie sa réflexion aussi bien sur le plan historique - nous livrant ainsi d'éclairants aperçus sur l'histoire de l'esthétique de Platon à Goethe et Kant - que sur le plan systématique. Il apparaît alors que si cette théorie de la mise en forme esthétique put être influente, c'est avant tout par son incontestable contemporanéité.
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