D'huile ou déchaînée, la mer fascine. Souvent associée aux vacances et à la douceur de vivre, elle est parfois le théâtre de drames, une transition vers un ailleurs prometteur, une muse à l'attrayante rudesse.
Au bord de l'océan, à la pension Almayer, «posée sur la corniche ultime du monde», se croisent sept personnages au destin étrange et romanesque, sept naufragés de la vie qui tentent de recoller les morceaux de leur existence. Mais leur séjour est bouleversé par le souvenir d'un hallucinant naufrage d'un siècle passé et la sanglante dérive d'un radeau. Et toujours, la mer, capricieuse et fascinante...Avec une époustouflante maîtrise, Alessandro Baricco nous offre à la fois un roman à suspense, un livre d'aventures, une méditation philosophique et un poème en prose.
D'huile ou déchaînée, la mer fascine. Souvent associée aux vacances et à la douceur de vivre, elle est parfois le théâtre de drames, une transition vers un ailleurs prometteur, une muse à l'attrayante rudesse.
Alors je dois dire que dès les premières pages de ce roman, je suis tombée dans une grande perplexité. J'ai tout trouvé bizarre et obscure et j'ai vraiment craint de ne pas accrocher. On se serait cru un peu dans un rêve, quand ce qui est absurde est normal. Même les phrases sont étranges, qui s'arrêtent parfois brutalement, sans point, et changent de ligne…
Et puis il y a eu les lettres de Ismaël Bartleboom et je suis tombée sous le charme de cette étrange histoire… et puis j'ai continué de ne rien comprendre.
Mais j'ai persisté ! Page 90 je ne savais toujours pas ce que je lisais. Je me suis dit que ça viendrait, mais ça n'est jamais venu. Mes yeux lisaient les lignes mais mon cerveau était ailleurs. Pourtant j'ai persisté.
Il y a beaucoup de poésie dans ces lignes, des moments d'une grande beauté. Mais la multiplicité des personnages m'a égarée autant que l'absurdité des dialogues et des situations, selon mes propres critères bien sûr. Je sais que ce roman est considéré par beaucoup comme une sorte de merveille, mais moi je me suis demandé tout le long de ma lecture dans quel univers vivait le bonhomme. Je me suis ennuyée, mais tellement !!!
Je me demande même comment ma fille a pu aimer ce livre au point de tenir absolument à ce que je le lise.
Au fond, je crois que ce roman est une longue métaphore qui m'a totalement échappée. Mais même ça je n'en suis pas sûre.
J'avais bien aimé Soie, mais celui-ci pas du tout. Je l'ai trouvé tellement onirique et abscons ! Je suis passée totalement à côté.
Premier roman lu dans le cadre du #bookclub du @prixbookstagram pour #unétéenitalie et pour moi c'est un fiasco total, un long chemin de croix jusqu'au mot fin.
j'ai plongé avec délices dans les mots de ce conteur qu'est Alessandro Baricco. Une fable, des histoires, de la poésie, du merveilleux ! Du drame et des horreurs aussi...
Une pension au bord de la mer, où se croisent des personnages qui cherchent tous quelque chose de différent. Et tous pensent le trouver là, dans l'océan.
Et l'omniprésence de la mer, tumultueuse, inquiétante, apaisante, ressourçante, infinie, fascinante, dangereuse, mystérieuse....
Baricco n'a son pareil pour nous faire voyager, sans savoir réellement où l'on est et où l'on va !
Tellement poétique. Un doux voyage. Des personnages qui nous transportent ailleurs
La pension "Almayer" "posée sur la corniche ultime du monde", sept chambres, sept naufragés et la mer...
La mer de Thomas et Savigny, histoire cruelle, histoire de naufrage, de survie et de vengeance.
La mer d'Elisewin, qui va à sa rencontre pour ne pas mourir.
La mer d'une très belle femme, solitaire, venue au bord du monde pour oublier son aimé.
La mer d'un professeur qui étudie l'endroit où l'eau s'arrête et qui veut écrire l'Encyclopédie des limites observables dans la nature, avec un supplément consacré aux limites des facultés humaines. Il écrit également de longues lettres d'amour pour une femme dont il n'a pas encore fait connaissance ...
La mer d'un peintre qui jette ses toiles...
La mer d'un homme qui attend...
La mer d'un prêtre qui écrit des prières...
La mer d'un mystérieux occupant de la septième chambre qu'on ne voit jamais...
Des enfants dont le prénom commence par D, enfants anges, enfants fantômes, qui accompagnent les âmes perdues...
Livre magnifique, une fois encore Alessandro Baricco nous livre dans ce récit la magie des mots, la danse du vocabulaire.
Je n'ai qu'une envie c'est de lire à voix haute, régulièrement, des fragments de l'histoire pris au hasard. C'est beau, l'émotion est là, à chaque page, la mer toujours présente, qui donne, qui prend, qui fascine, qui passionne, qui emprisonne, telle une maîtresse jalouse.
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