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Néron ? Et si c'était un brave type ?

Couverture du livre « Néron ? Et si c'était un brave type ? » de Bernard Fripiat aux éditions Gunten
  • Date de parution :
  • Editeur : Gunten
  • EAN : 9782366820119
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Pour nous divertir encore et encore, accompagnons les héros du livre I des questions d'Aurélien que nous connaissons maintenant, revenus de l'an 814 à la mort de Charlemagne, repartis pour la Rome antique défendre Néron, Aurélien donc, l'étudiant en histoire du 22ième siècle, Patrick... Voir plus

Pour nous divertir encore et encore, accompagnons les héros du livre I des questions d'Aurélien que nous connaissons maintenant, revenus de l'an 814 à la mort de Charlemagne, repartis pour la Rome antique défendre Néron, Aurélien donc, l'étudiant en histoire du 22ième siècle, Patrick l'humanoïde, Brune l'esclave sauvée et aimée. Les témoins accusant Néron d'avoir assassiné son frère Britannicus, sa mère Agrippine, son précepteur Sénèque, son épouse Poppée et provoqué l'incendie de Rome sont-ils suffisamment crédibles pour conduire le prévenu devant un jury d'Assises ? Pour y répondre, les deux auteurs BF & CH de ce roman « historicomique » distribuent astucieusement des « PTT » (Pilules Transpatio Temporelles). Avec grand plaisir laissons-nous transporter à Rome... Découvrons, apprenons... Suite à la lecture de cet ouvrage, plus conforme à la réalité historique que Quo Vadis, nous rangerons-nous... du côté... de Néron ? Dirigerons-nous notre pouce vers le haut ? « Néron n'est pas un assassin, maintient l'adolescent romain. » « Si ! s'amuse le futur historien. Dans le siècle des dieux, on l'appellerait serial killer. Suétone l'accuse d'avoir empoisonné son frère avec la variété de champignons que sa mère avait utilisée pour occire Claude. » Le jeune Romain éclate de rire. « Agrippine ! Toi qui l'as connue intimement, la crois-tu capable de tuer son mari ? » « Aurélien songe qu'il devra éviter cet argument dans sa thèse. » « Utiliser deux fois de suite la même technique d'assassinat, observe le défenseur de Néron, ils manquent d'imagination. Ton Suétone ignore-t-il que les nobles utilisent des goûteurs ? » « Tacite a anticipé ton argument. Selon lui, le poison se trouvait dans l'eau utilisée afin de rafraîchir la soupe brûlante. Il crédibilise la version de Suétone. » « Crédibilise ! s'exclame Fanfan. On contrôle la soupe de crainte qu'elle ne soit empoisonnée, mais personne ne songe à vérifier l'eau. » Leur habillage terminé, Celsus les invite à rejoindre leur litière. Sitôt installés, les cinq jeunes gens se voient soulevés par une dizaine de puissants esclaves.

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