"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au pavillon 43, il y a un Napoléon, un Jésus et une Théière Humaine. Et, à la barre, Abel Francis Sandro, jeune psychiatre à l'alcoolémie savamment contrôlée (0,8 g dans le sang, jamais plus, jamais moins), flanqué de son ami Johnny Rotten Walker et obsédé par une idée folle : comprendre comment les gens marchent. Depuis son enfance à l'orphelinat, Abel cherche à croire en l'humanité - c'est même pour cela qu'il est devenu médecin. Mais il se rend vite à l'évidence : sa méthode ne fonctionne pas. Ce qu'il comprend des gens, c'est leurs maladies, pas eux. Alors, le désespoir le gagne. Il mettrait volontiers fin à ses jours, si l'instinct de survie, « cette saloperie », voulait bien le lâcher...
Abel est devenu médecin pour comprendre comment ça marche.
Et pas pour soigner et guérir les gens.
Il n'a pas prêté un serment d'Hippocrate mais un serment d’Hypocrite.
Abel est le médecin-chef.
Le psychiatre.
Dans un asile de dingue.
Au pavillon 43.
Le pavillon des malades mentaux chroniques.
Et il pense qu'il perd la boule...
Je suis toujours très touchée par les personnages et les intrigues désopilantes émouvantes et originales de cette auteure décédée vraiment bien trop tôt.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !