"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Dans la tradition juive, le dibbouk est un esprit, l'âme pécheresse d'un mort, qui entre dans un vivant, le dirige et peut aussi le corrompre. Depuis ma toute première enfance, cher Glaskubin, je suis habité par des dibbouks, pas seulement des âmes mortes, mais aussi et bien plus encore par des âmes vivantes. Les corps et les âmes sont passés à travers moi, ils ont respiré en moi, ont parlé à ma place et lorsque l'un d'entre eux, vide et usagé, m'abandonnait de nouveau ou même pourrissait en moi, je partais en convier d'autres afin de ne pas laisser inhabitée la pension de l'âme. » Dans ce livre de mémoires en forme de fables, Luc Bondy pose sur son père François, son enfance dans les Pyrénées, ses amis, sa maladie, sur la vie et le temps un regard tendre et décalé. Il entraîne son lecteur dans un univers parallèle, un monde lumineux et cristallin, sculpté par un auteur de talent et un homme auquel les épreuves et la passion ont enseigné le plus beau des savoir-vivre. L'écriture magnifique de l'auteur relie ces récits en une véritable oeuvre littéraire, souvent très attachante, parfois poignante.
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