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Académicien français et grand intime de Gauthier mais surtout de Flaubert, Maxime Du Camp n'en a pas moins subi la loi commune à tant de romanciers : l'oubli. A l'inverse de Flaubert, Du Camp écrit lui, ouvertement, pour les lecteurs de son temps ; c'est à eux, avant tout, qu'il cherche à plaire en esquissant ses fictions. Dans ces Mémoires d'un suicidé, il investit la psyché d'une génération "rongée par des ennuis sans remède, repoussées par d'injustes déclassements, attirée vers l'inconnu par les désirs des imaginations déréglées" et à laquelle appartient Jean-Marc, son protagoniste.
Ces Mémoires ne seraient-ils finalement qu'un roman offert par un désoeuvré à d'autres désoeuvrés ? A telle question, on ne saurait répondre. Mais il est certain que le lecteur d'aujourd'hui ne peut qu'être saisi, au fil des pages, par l'extrême et tragique contemporanéité des thématiques et interrogations qui traversent Jean-Marc, et qui conduisent inexorablement ce-dernier vers un destin dont le titre ne fait pas mystère.
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