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Max Winson n'a jamais perdu un match de tennis de sa vie.
Adulé par la foule, il n'est pourtant pas celui qu'on croit.
Grande carcasse mélancolique à l'allure de Pierrot, il n'est que le produit d'une enfance volée par des entraînements inhumains, le pantin d'un père tyrannique. Quand ce dernier devient trop faible pour le coacher, la liberté s'offre à lui avec son cortège de paradoxes existentiels.
L'an dernier, Le singe de Hartlepool du même Jérémie Moreau pour le dessin (mais du dénommé Wilfrid Lupano au scénar, celui de la machine je suppose...) était déjà une belle réussite qu'il faudrait faire lire et relire, surtout en ce moment où certains gobent les pires sornettes... Max Winson, dont c'est le premier tome, ne fait que confirmer que l'on tient là un nouvel grand auteur. Certains pourraient être rebutés au premier abord par le dessin, bien différent de sa précédente production. Qu'ils passent outre ! Dès les premières pages, on oublie et l'on est emporté par le récit dont le découpage incisif, avec ses cases éclatées et anguleuses, sert admirablement le propos.
J'ai refermé "Max Winson 1. La tyrannie", totalement bluffé. C'est un manga, c'est vrai, mais dont le projet est à la fois de passionner sans fléchir tout en faisant réfléchir son lecteur.
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