Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
« Avec matinées sans police, Carmen Diez Salvatierra explore la forme aliénée de nos existences, interrogeant les puissances objectives qui déterminent nos existences individuelles. Ou comment l'intime, le sensible, le quotidien se font politiques. [...] Les 4 poèmes que nous propose ici la poétesse se présentent comme une succession anarchique de tranches de vie. Elles se font parfois récits poétiques, souvent poignants, d'autres fois empreints d'humour, desquels la lutte "émancipatrice" [p.81] n'est jamais absente. Et c'est peut-être sûrement là que se niche la singularité de l'écriture de Carmen Diez Salvatierra, celle d'ancrer son sujet poétique dans le monde social. [...] Matinées sans police est une de ces terres poétiques trop rares, à sauvegarder. » Ahmed Slama, Litteralutte
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