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« Qui ne connaît le capitaine Mandrin ? N'est-il pas celui en qui les honnêtes gens ont mis toutes leurs espérances ? » s'interroge un berger dans le Mandrin d'Arthur Bernède.
Étonnante définition d'un bandit, né à Valence en 1755. Figure légendaire, qui ne cesse d'inspirer, depuis près de deux cent cinquante ans, nombre d'auteurs.
Mandrin s'inscrit dans la tradition des héros de Bernède aux qualités exceptionnelles, tant physiques que morales, mises au service de la vraie justice contre l'oppression.
Contrebandier aimé du peuple, il ne s'en prend qu'aux Fermiers généraux à qui il fait rendre l'argent extorqué par des impôts arbitraires et des exactions innombrables. Il ne vole donc que des voleurs et se montre d'une grande générosité à l'égard des petites gens, ou même de ses adversaires, avec un panache conservé jusque dans le supplice...
Voilà de quoi expliquer le mythe de Mandrin que Bernède s'empresse d'alimenter dans un roman où son art du suspense s'exprime de main de maître, au travers d'une histoire d'amour totalement inventée et d'aventures empruntées à la vie réelle du fameux contrebandier.
Après Belphégor, Surcouf, Vidocq, Judex..., voici Mandrin.
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