80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Madeleine Delbrêl (1904-1964) a cherché à comprendre la foi qui l'a « éblouie » un 29 mars 1924, après une période d'athéisme par une lecture intensive d'auteurs spirituels a nourri sa soif, parmi lesquels les saints du Carmel. Ce livre met à jour l'influence de cette spiritualité chez Madeleine et fait apparaître la connivence profonde qu'elle a entretenue tout au long de sa vie avec les réformateurs du Carmel, Thérèse d'Avila et plus particulièrement avec Jean de la Croix. La rencontre de Dieu, dans l'expérience de la nuit de la souffrance et dans la recherche de la beauté, la contemplation comme transformation de la personne et vie missionnaire en sont quelques points communs.
Mais si Madeleine puise dans cet héritage, elle l'actualise par le questionnement propre de son temps : l'athéisme croissant provoque ainsi le croyant à une conversion permanente, qui s'incarne dans un amour fraternel toujours plus dépouillé de soi et répondant à l'amour de Dieu.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année