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Thierry Delaballe photographie l'antériorité du monde, l'origine de toute chose, de l'eau, du soleil, de l'univers. Est-il vraiment photographe ? Je pense qu'il est un peintre : un peintre de la lumière, la sienne, de son moi, laquelle se conjugue avec celle inventée par Dieu, les premiers jours du monde - à consulter les premières pages de la Bible. Aucun doute. Aucune discussion inutile. Le noir est une couleur, et la couleur par excellence, celle qui est à l'origine de toutes les autres couleurs. Thierry Delaballe le sait, le perçoit, le montre, par les signes discrets de son noir : l'origine du monde était-elle discrète, lente, comme la lumière de son regard ? Dans chacune de ses oeuvres, Thierry Delaballe nous dit que sans le noir il n'y aurait pas de blanc. Que la pureté serait absente du monde. Et que le blanc est l'origine, la vie, le soleil, la pleine lune, une étoile née il y a des milliards d'années. Mais qu'il ne serait rien sans le noir. Le noir de Thierry Delaballe est éclat, couleur sans limite, profondeur de l'âme, transparence du regard. Les textes de Giovanni Dotoli illustrent la lumière et la magie du noir dans les photographies de T. Delaballe.
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