Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Journal d'un jeune ouvrier de General Motors, L'ouvrier américain donne à voir le quotidien vécu du monde de l'usine loin de toute idéalisation, de toute doctrine, de tout misérabilisme. L'auteur, qui publie sous le pseudonyme de Paul Romano, se veut passeur d'une réalité, cherchant à exprimer « [les] pensées les plus intimes dont le travailleur parle rarement, même à ses collègues de travail ». Le texte a pour personnage central cette communauté ouvrière, bien plus qu'une « masse », avec laquelle l'auteur fait corps. « Leurs sentiments, leurs soucis, leurs joies, leur lassitude, leurs fatigues, leurs colères, je les ai tous partagés d'une manière ou d'une autre. »
Ce texte, traduit et publié dans les premiers numéros de Socialisme ou barbarie, a eu un certain retentissement dans la gauche ouvrière de l'époque. Par les yeux de Paul Romano, c'est la face méconnue, si rarement décrite par ses acteurs eux-mêmes, de l'appareil de production moderne que nous contemplons.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !