Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Les trois récits réunis ici (L'italien, À la lisière des arbres et Kulterer) nous permettent de voir comment Bernhard élabore et affine progressivement ses dispositifs narratifs, ses procédés stylistiques et ses thèmes. Ils témoignent tous les trois d'une grande maîtrise et d'une écriture qui n'est pas sans rappeler par moments ce que la prose en allemand a produit de plus beau : Büchner et Kleist.
« Pendant deux heures j'avais oublié tout ce qui avait provoqué depuis des mois dans mon cerveau une douleur monstrueuse, tout mon travail. Je ne sortis de mes pensées qu'une seule fois encore, quand l'Italien, qui m'avait, au bout de peu de temps déjà, invité à venir chez lui à Florence, dit après que nous eûmes passé le pont?: « L'obscurité qui règne ici...?» et puis se tut. «?Il n'y aurait?», dit-il, «?aucun moyen de se fuir soi-même. » Ce qu'il voulait dire, et surtout à cet instant-là, je n'en savais rien, nous étions juste devant la fenêtre ouverte, juste devant le mort. »
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