80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Dans un lyrisme asséché, comme accidenté, Virginie Lalucq creuse une langue pour témoigner des personnes qui affrontent la maladie et la mort ; de ces grand.e.s vivant.e.s qui nous entourent, qui ne peuvent plus ni écrire ni rien faire car rongé.e.s par la maladie et abandonné.e.s par leur corps...
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