Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Ce travail de recherche essaie de proposer une théorie de l'interaction sociale sous l'angle cognitif. Il fait la revue de l'ensemble des théories de communication existantes et propose de migrer vers l'approche cognitive qui préconise l'harmonie entre les intentions et les inférences de communication. En effet, celui qui communique a des intentions fortes mais malheureusement pour lui, la mémoire de celui qui écoute n'est pas vierge; elle est surchargée par un environnement cognitif fait de conflits, de préjugés, de déceptions, de complexe, d'admiration, de craintes, d'expériences. Pour cela, le locuteur ne doit plus se contenter de diffuser un message comme une bouteille jetée à la mer. Pour faire passer son intention en société, il doit l'ajuster à l'objet de la satisfaction de son interlocuteur. Cet objet de satisfaction n'est pas universelle; il est spécifique à chaque individu ou à chaque groupe social. Il faut donc connaître son auditoire non plus sur le plan matériel mais, sur le plan cognitif. Ainsi, une communication réussie en société ne saurait plus être un bain d'assimilation dans les intentions de l'émetteur mais, un effort de satisfaction inférentielle du récepteur.
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